« A Tokio, j'ai vécu une course émotionnelle lors des championnats individuels. Après, on peut dire que la quatrième place n'est pas mauvaise, mais je me suis sentie la plus grande perdante. Je me suis senti le plus grand perdant », explique le cavalier suédois.

« Mon cheval King Edward est tout simplement extraordinaire. Nous nous faisons confiance à 100 %. Chaque fois que nous prenons le départ, j'essaie de faire de mon mieux. Je ne peux pas accepter que l'on fasse une erreur de ma part. Parce que mon cheval n'est jamais à blâmer !

Il s'est montré encore plus intelligent !

« Tout comme nous, les chevaux vieillissent. Plus on vieillit, plus il faut être malin. On perd un peu de pouvoir. Heureusement, le roi Édouard est devenu plus intelligent en vieillissant. Cela montre que la santé mentale des chevaux est très importante. C'est pourquoi j'essaie de faire 150 % de mon possible pour assurer la santé mentale de mes chevaux !

« Je suis père maintenant. Je continue à rêver et à penser à de grandes choses. Mais en tant que père, mes priorités ont changé. Si je ne gagne pas l'or, ce n'est pas la fin du monde. Bien sûr, je me sentirai mal !

« Nous sommes en forme, allons-y ! », conclut von Eckermann !