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Victoire d’un « vieux » couple belgo-australien !

Une magnifique première journée au Longines Paris Eiffel Jumping : un soleil resplendissant, des tribunes pleines, un village grouillant de monde autour des stands et du paddock d’échauffement… Des chevaux peu gênés par la chaleur, transpirant à peine – après tout, il s’agit d’athlètes de haut-niveau extrêmement bien préparés physiquement par leurs cavaliers – et qui ont offert un magnifique spectacle sportif.
 

D’autant plus magnifique qu’il commençait, au niveau cinq étoiles (Prix Le Figaro, 1,45m), par une victoire française signée du jeune Edward Levy et sa fidèle jument Starlette de la Roque qui battait une des stars du circuit international, la Suédoise Malin Baryard-Johnsson et H&M Seconde Chance de 26 centièmes.
 
Mais l’épreuve phare du jour était la première manche de la Global Champions League, une épreuve par équipe qui sillonne le monde à travers vingt étapes sur trois continents et dont la finale se jouera à Prague, à l’O2 Arena, du 21 au 24 novembre prochains. Sur la piste, les équipes sont composées de deux cavaliers puisés dans un réservoir de six. Chacune des équipes représente une des villes étapes du circuit, et comme au football, il y a un mercato avec des transferts de cavaliers d’un team à l’autre. Ainsi, à mi- saison, le Suédois Henrik von Eckermann vient de rejoindre l’équipe des Scandinavian Vikings représentant Stockholm. L’équipe qui jouait à domicile vendredi au Champ de Mars, les Paris Panthers, était composée d’un Egyptien très en forme en ce moment, Nayel Nassar, et du non moins efficace Belge Gregory Wathelet.

Mais vendredi, pour remporter cette première manche, il fallait deux cavaliers sans-faute et l’Egyptien a failli ! Trois équipes ont pu aligner ce double sans-faute : les Prague Lions, les Miami Celtics et les Saint-Tropez Pirates, plus rapides que tout le monde avec l’Australienne Edwina Tops-Alexander et le Belge Pieter Devos : « C’était une épreuve bien construite (par le Français Gregory Bodo, Ndlr), complimentait Devos, pas trop grosse, ne demandant pas de trop gros efforts. Un parcours qui était assez technique, assez délicat avec des fautes un peu partout. C’est vrai qu’il faisait chaud, mais le chef de piste a tenu compte de ce facteur, l’épreuve n’a pas épuisé les chevaux ». Cette victoire provisoire (car il y aura une seconde manche demain), Pieter Devos la doit également à la complicité qu’il a nouée avec sa coéquipière australienne au fil de la saison : « C’est notre deuxième saison ensemble et nous avons déjà fait de bons résultats avec Edwina, on se connaît et c’est important car, après tout, il s’agit d’une épreuve par équipe, on se parle, on se conseille. Elle a commencé par un sans-faute et cela met toujours un peu de pression, je n’avais pas le droit à l’erreur. Mais j’ai été toujours très régulier tout au long de la saison ». Une victoire en Global Champions League est également une histoire de stratégie : demain, les cavaliers peuvent changer de chevaux : « Edwina remontera la même jument, Veronese Teamjoy tandis que vais faire confiance à Espoir, car compte tenu de la chaleur, je vais garder Claire Z fraiche pour le Grand Prix ».

Les deux manches de la Global Champions League servent également de support pout la qualification pour le Grand Prix individuel Longines Global Champions Tour de demain soir et la victoire individuelle sur cette épreuve est revenue à un Irlandais très en forme en ce moment, Darragh Kenny en selle sur Christos. Une première « qualif » où les Français se sont montrés très discrets.


Source: Equnews/communique de presse R&B presse

D’autant plus magnifique qu’il commençait, au niveau cinq étoiles (Prix Le Figaro, 1,45m), par une victoire française signée du jeune Edward Levy et sa fidèle jument Starlette de la Roque qui battait une des stars du circuit international, la Suédoise Malin Baryard-Johnsson et H&M Seconde Chance de 26 centièmes.
 
Mais l’épreuve phare du jour était la première manche de la Global Champions League, une épreuve par équipe qui sillonne le monde à travers vingt étapes sur trois continents et dont la finale se jouera à Prague, à l’O2 Arena, du 21 au 24 novembre prochains. Sur la piste, les équipes sont composées de deux cavaliers puisés dans un réservoir de six. Chacune des équipes représente une des villes étapes du circuit, et comme au football, il y a un mercato avec des transferts de cavaliers d’un team à l’autre. Ainsi, à mi- saison, le Suédois Henrik von Eckermann vient de rejoindre l’équipe des Scandinavian Vikings représentant Stockholm. L’équipe qui jouait à domicile vendredi au Champ de Mars, les Paris Panthers, était composée d’un Egyptien très en forme en ce moment, Nayel Nassar, et du non moins efficace Belge Gregory Wathelet.

Mais vendredi, pour remporter cette première manche, il fallait deux cavaliers sans-faute et l’Egyptien a failli ! Trois équipes ont pu aligner ce double sans-faute : les Prague Lions, les Miami Celtics et les Saint-Tropez Pirates, plus rapides que tout le monde avec l’Australienne Edwina Tops-Alexander et le Belge Pieter Devos : « C’était une épreuve bien construite (par le Français Gregory Bodo, Ndlr), complimentait Devos, pas trop grosse, ne demandant pas de trop gros efforts. Un parcours qui était assez technique, assez délicat avec des fautes un peu partout. C’est vrai qu’il faisait chaud, mais le chef de piste a tenu compte de ce facteur, l’épreuve n’a pas épuisé les chevaux ». Cette victoire provisoire (car il y aura une seconde manche demain), Pieter Devos la doit également à la complicité qu’il a nouée avec sa coéquipière australienne au fil de la saison : « C’est notre deuxième saison ensemble et nous avons déjà fait de bons résultats avec Edwina, on se connaît et c’est important car, après tout, il s’agit d’une épreuve par équipe, on se parle, on se conseille. Elle a commencé par un sans-faute et cela met toujours un peu de pression, je n’avais pas le droit à l’erreur. Mais j’ai été toujours très régulier tout au long de la saison ». Une victoire en Global Champions League est également une histoire de stratégie : demain, les cavaliers peuvent changer de chevaux : « Edwina remontera la même jument, Veronese Teamjoy tandis que vais faire confiance à Espoir, car compte tenu de la chaleur, je vais garder Claire Z fraiche pour le Grand Prix ».

Les deux manches de la Global Champions League servent également de support pout la qualification pour le Grand Prix individuel Longines Global Champions Tour de demain soir et la victoire individuelle sur cette épreuve est revenue à un Irlandais très en forme en ce moment, Darragh Kenny en selle sur Christos. Une première « qualif » où les Français se sont montrés très discrets.


Source: Equnews/communique de presse R&B presse

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