L’organisateur et le public de cette onzième édition, et ce dixième anniversaire, du Longines Masters de Paris ne pouvaient pas espérer plus beau cadeau. Face à leurs fans, trois cavaliers français, Simon Delestre, Kevin Staut et Roger-Yves Bost composent le podium de l’épreuve-reine du week-end, le Longines Grand Prix. Croyez-le : il y a eu du bruit, beaucoup de bruit, dans les tribunes de cette édition historique !
« Juste », « parfaitement dosé », « résolument tourné vers le sport et le bien-être des chevaux ». Les compliments n’ont pas manqué en conférence de presse pour qualifier les deux parcours du Longines Grand Prix de Paris proposés par le chef de piste français Grégory Bodo. « Le parcours était intéressant, avec des fautes en peu partout sur les parcours, sans réel juge de paix qui aurait pénalisé tel ou tel type de cheval. Le travail fourni par Grégory était très subtil, et a définitivement obligé les cavaliers à monter dans le rythme, ce qui reste la base de l’équitation. » Dans la bouche d’un champion olympique en titre, le Tricolore Kevin Staut, ces mots ont dû ravir le Lorrain Bodo, que la « planète cheval » s’arrache et dont les parcours sont unanimement reconnus partout où le chef de piste intervient. « Les parcours de ce Longines Grand Prix de Paris et de l’ensemble du week-end de cette onzième édition du Longines Masters de Paris nécessitaient de monter de façon fluide, avec délicatesse, de la précision, sans négliger le rythme. Dans le barrage, j’ai tout de même proposé deux virages pour que les couples puissent prendre des risques. » Est-ce à dire que ce Longines Grand Prix of Paris allait se remporter au sol, pas sur les barres ?
« Une épreuve de champions »
« Hermès Ryan est naturellement très rapide au sol », a expliqué le vainqueur du Longines Grand Prix de Paris, Simon Delestre. « C’est effectivement au sol que j’ai gagné l’épreuve, en restant dans les contrats de foulées que j’avais prévus, mais en tournant très vite. C’était un gros Grand Prix, et partir en dernier du barrage qui comptait six qualifiés, était plutôt confortable. »
« Lors de la reconnaissance », a renchéri Roger-Yves Bost, troisième du Longines Grand Prix de Paris, l’autre champion olympique par équipe du podium, « je me suis vraiment dit que l’on aurait une épreuve de champions, que celui qui l’emporterait serait sacrément fort. Il m’a fallu prendre tous les risques, en enlevant des foulées notamment. Je savais que derrière moi, les fusées Delestre et Staut allaient tout donner. Je n’ai pas fait énormément de barrages à cette vitesse-là avec Sangria ; je suis donc très satisfait d’elle ».
Au classement final, les trois Français Delestre, Staut et Bost, sont suivis de l’Irlandais Darragh Kenny, en selle sur Classic Dream, de Félicie Bertrand sur Sultane des Ibis, seule cavalière qualifiée pour le barrage de ce Longines Grand Prix de Paris, et par l’Allemand Christian Ahlmann, associé à Take A Chance On Me Z.
« Juste », « parfaitement dosé », « résolument tourné vers le sport et le bien-être des chevaux ». Les compliments n’ont pas manqué en conférence de presse pour qualifier les deux parcours du Longines Grand Prix de Paris proposés par le chef de piste français Grégory Bodo. « Le parcours était intéressant, avec des fautes en peu partout sur les parcours, sans réel juge de paix qui aurait pénalisé tel ou tel type de cheval. Le travail fourni par Grégory était très subtil, et a définitivement obligé les cavaliers à monter dans le rythme, ce qui reste la base de l’équitation. » Dans la bouche d’un champion olympique en titre, le Tricolore Kevin Staut, ces mots ont dû ravir le Lorrain Bodo, que la « planète cheval » s’arrache et dont les parcours sont unanimement reconnus partout où le chef de piste intervient. « Les parcours de ce Longines Grand Prix de Paris et de l’ensemble du week-end de cette onzième édition du Longines Masters de Paris nécessitaient de monter de façon fluide, avec délicatesse, de la précision, sans négliger le rythme. Dans le barrage, j’ai tout de même proposé deux virages pour que les couples puissent prendre des risques. » Est-ce à dire que ce Longines Grand Prix of Paris allait se remporter au sol, pas sur les barres ?
« Une épreuve de champions »
« Hermès Ryan est naturellement très rapide au sol », a expliqué le vainqueur du Longines Grand Prix de Paris, Simon Delestre. « C’est effectivement au sol que j’ai gagné l’épreuve, en restant dans les contrats de foulées que j’avais prévus, mais en tournant très vite. C’était un gros Grand Prix, et partir en dernier du barrage qui comptait six qualifiés, était plutôt confortable. »
« Lors de la reconnaissance », a renchéri Roger-Yves Bost, troisième du Longines Grand Prix de Paris, l’autre champion olympique par équipe du podium, « je me suis vraiment dit que l’on aurait une épreuve de champions, que celui qui l’emporterait serait sacrément fort. Il m’a fallu prendre tous les risques, en enlevant des foulées notamment. Je savais que derrière moi, les fusées Delestre et Staut allaient tout donner. Je n’ai pas fait énormément de barrages à cette vitesse-là avec Sangria ; je suis donc très satisfait d’elle ».
Au classement final, les trois Français Delestre, Staut et Bost, sont suivis de l’Irlandais Darragh Kenny, en selle sur Classic Dream, de Félicie Bertrand sur Sultane des Ibis, seule cavalière qualifiée pour le barrage de ce Longines Grand Prix de Paris, et par l’Allemand Christian Ahlmann, associé à Take A Chance On Me Z.