Comme aurait pu le dire Gary Lineker, « à la fin, c’est toujours Ahlmann qui finit par gagner » ! Incroyable cavalier allemand qui, en deux jours, remporte les deux Grands Prix de Paris ! Cette fois-ci avec une jument, Ailina, qui appartient également au haras Zangersheide.
Cet ultime et magnifique après-midi avait commencé par l’image magique des cavaliers de la Route Eiffel arrivés au terme de leur pérégrination en région parisienne et dans le rues de Paris, escortés par la prestigieuse Garde Républicaine. Que de souvenirs pour ces cavaliers amateurs accueillis dans l’arène du Champ De Mars. Un tableau qui démontrait que le Longines Paris Eiffel Jumping n’est en rien un concours hippique comme les autres : ouvert à tous, à tous chevaux, tous cavaliers et toutes sortes d’équitations.
Puis place au dernier grand moment de sport de ce merveilleux week-end, le Longines Eiffel Challenge, un Grand Prix à 1,55m avec barrage. Lors de la reconnaissance, Christian Ahlmann (45 ans), l’avait déjà annoncé : « Celui-là, je vais le gagner aussi » ! Aucune bravade dans ses propos, juste une certaine confiance en soi. En faisant partie des 14 barragistes sur 44 partants, l’Allemand remplissait déjà la première moitié de son contrat. Son parcours de barrage fut une véritable démonstration de fluidité et de dressage « mettant » au final plus de 60 centièmes au pourtant très rapide Egyptien Abdel Saïd (Jumpy van de Hermitage) et plus d’une seconde à Ben Maher (Don Vito) sans vraiment donner l’impression de forcer sa jument : « C’est un week-end incroyable ! Il y a des fois comme ça, on l’on peut être dans une bonne passe, comme cela l’a été pour moi ces derniers jours et, dans ces moments-là, tout peut arriver, comme remporter les deux Grand Prix d’un même concours ! Je suis vraiment fier de mes chevaux et de mon équipe. Chacun a fait un travail magnifique ». C’est la première fois de l’histoire du Longines Paris Eiffel Jumping qu’un même cavalier signe le doublé Grand Prix LGCT et Longines Eiffel Challenge… et pourtant, Ailina est une jument qu’Ahlmann connaît à peine : « C’est une jument que monte habituellement Judy Ann (Melchior, sa compagne – ndlr), avec laquelle elle a déjà couru plusieurs Grand Prix 5*. C’est une très bonne jument avec beaucoup d’expérience, elle connait parfaitement son job comme tout le monde a pu le voir ! » Hier, après sa première victoire, Christian Ahlmann révélait que Judy Ann Melchior, qui venait de mettre leur deuxième enfant au monde, ne voyait pas forcément d’un bon œil que le jeune papa parte comme ça, aussi vite, en compétition. Cette fois-ci, le double vainqueur parisien peut rentrer tranquille à Zangersheide : il n’y aura pas de scène de ménage !
Les Français en demi-teinte
Trois cavaliers français s’étaient glissés parmi les quatorze barragistes. Une belle performance qui ne s’est pas transformée dans le tie-beak : Simon Delestre termine huitième avec Filou Carlo Zimequest, Julien Epaillard, onzième avec Queeletta et Pénélope Leprévost, quatorzième et dernière de ce barrage avec Andiamo Semilly. Mais les trois chevaux ont montré de belles choses. Peut-être le confirmeront-ils dès la semaine prochaine devant le château de Chantilly où se jouera la prochaine étape (et la dernière en France) de ce Longines Global Champions Tour.
Source:Equnews/communique de presse R&B/Photo Sportfot
Cet ultime et magnifique après-midi avait commencé par l’image magique des cavaliers de la Route Eiffel arrivés au terme de leur pérégrination en région parisienne et dans le rues de Paris, escortés par la prestigieuse Garde Républicaine. Que de souvenirs pour ces cavaliers amateurs accueillis dans l’arène du Champ De Mars. Un tableau qui démontrait que le Longines Paris Eiffel Jumping n’est en rien un concours hippique comme les autres : ouvert à tous, à tous chevaux, tous cavaliers et toutes sortes d’équitations.
Puis place au dernier grand moment de sport de ce merveilleux week-end, le Longines Eiffel Challenge, un Grand Prix à 1,55m avec barrage. Lors de la reconnaissance, Christian Ahlmann (45 ans), l’avait déjà annoncé : « Celui-là, je vais le gagner aussi » ! Aucune bravade dans ses propos, juste une certaine confiance en soi. En faisant partie des 14 barragistes sur 44 partants, l’Allemand remplissait déjà la première moitié de son contrat. Son parcours de barrage fut une véritable démonstration de fluidité et de dressage « mettant » au final plus de 60 centièmes au pourtant très rapide Egyptien Abdel Saïd (Jumpy van de Hermitage) et plus d’une seconde à Ben Maher (Don Vito) sans vraiment donner l’impression de forcer sa jument : « C’est un week-end incroyable ! Il y a des fois comme ça, on l’on peut être dans une bonne passe, comme cela l’a été pour moi ces derniers jours et, dans ces moments-là, tout peut arriver, comme remporter les deux Grand Prix d’un même concours ! Je suis vraiment fier de mes chevaux et de mon équipe. Chacun a fait un travail magnifique ». C’est la première fois de l’histoire du Longines Paris Eiffel Jumping qu’un même cavalier signe le doublé Grand Prix LGCT et Longines Eiffel Challenge… et pourtant, Ailina est une jument qu’Ahlmann connaît à peine : « C’est une jument que monte habituellement Judy Ann (Melchior, sa compagne – ndlr), avec laquelle elle a déjà couru plusieurs Grand Prix 5*. C’est une très bonne jument avec beaucoup d’expérience, elle connait parfaitement son job comme tout le monde a pu le voir ! » Hier, après sa première victoire, Christian Ahlmann révélait que Judy Ann Melchior, qui venait de mettre leur deuxième enfant au monde, ne voyait pas forcément d’un bon œil que le jeune papa parte comme ça, aussi vite, en compétition. Cette fois-ci, le double vainqueur parisien peut rentrer tranquille à Zangersheide : il n’y aura pas de scène de ménage !
Les Français en demi-teinte
Trois cavaliers français s’étaient glissés parmi les quatorze barragistes. Une belle performance qui ne s’est pas transformée dans le tie-beak : Simon Delestre termine huitième avec Filou Carlo Zimequest, Julien Epaillard, onzième avec Queeletta et Pénélope Leprévost, quatorzième et dernière de ce barrage avec Andiamo Semilly. Mais les trois chevaux ont montré de belles choses. Peut-être le confirmeront-ils dès la semaine prochaine devant le château de Chantilly où se jouera la prochaine étape (et la dernière en France) de ce Longines Global Champions Tour.
Source:Equnews/communique de presse R&B/Photo Sportfot