La semaine dernière, les compétitions ont pu reprendre après le coronastop. La saison officielle ne commence pas avant le 1er juillet, mais les fédérations ont donné aux clubs la permission d'organiser leurs propres compétitions. Bien entendu, ils devaient tenir compte de toutes les mesures de sécurité. "Ce n'est pas comme s'il y avait un scénario sur la table concernant cette situation", a déclaré Stephan Detry. "Nous avons dû tout régler nous-mêmes."
Au Azelhof, à Lier et dans le parc Sentower, ils ont sauté ce week-end. À Lier et Sentower, c'était sous forme de compétition, à Lummen, il y avait un entraînement au programme. Les mesures à suivre étaient partout les mêmes.
Parking
Sur le parking, des stewards étaient présents et s'assuraient que les camions et les remorques n'étaient pas garés trop près les uns des autres. De cette façon, on s'assurait que les cavaliers pouvaient rester dans leur "bulle" même lorsque leurs chevaux étaient sellés.
Circulation à sens unique
Divers trajets ont été développés pour que les cavaliers n'aient jamais à se croiser. De cette façon, on s'assurait que chaque voie avait une entrée différente comme sortie. De plus, les routes menant au warm-up ont été aménagées de telle sorte que les cavaliers ne doivent jamais se croiser.Après avoir sauté sur la piste, on ne pouvait pas retourner au warm-up, il fallait quitter la piste par une autre sortie.
Warm-up et jumping
Seul un nombre limité de cavaliers pourront être présents lors de l'échauffement. Les grooms doivent porter des gants. Chaque cavalier est assigné à un obstacle qui ne peut être levé que par son groom. Dans l'arène même de la compétition, trois cavaliers au maximum sont autorisés. Après avoir sauté leur parcours, les cavaliers doivent immédiatement quitter le terrain de compétition.
Désinfection
Les cavaliers doivent se désinfecter les mains régulièrement. Pour rendre cela possible, plusieurs poteaux avec du gel désinfectant étaient présents. Des gants en caoutchouc ont également été offerts sur les lieux aux grooms qui n'avaient pas de gants avec eux.
La semaine prochaine, il y aura à nouveau des activités à l'Azelhof, au parc Sentower et à Lummen.
Au Azelhof, à Lier et dans le parc Sentower, ils ont sauté ce week-end. À Lier et Sentower, c'était sous forme de compétition, à Lummen, il y avait un entraînement au programme. Les mesures à suivre étaient partout les mêmes.
Parking
Sur le parking, des stewards étaient présents et s'assuraient que les camions et les remorques n'étaient pas garés trop près les uns des autres. De cette façon, on s'assurait que les cavaliers pouvaient rester dans leur "bulle" même lorsque leurs chevaux étaient sellés.
Circulation à sens unique
Divers trajets ont été développés pour que les cavaliers n'aient jamais à se croiser. De cette façon, on s'assurait que chaque voie avait une entrée différente comme sortie. De plus, les routes menant au warm-up ont été aménagées de telle sorte que les cavaliers ne doivent jamais se croiser.Après avoir sauté sur la piste, on ne pouvait pas retourner au warm-up, il fallait quitter la piste par une autre sortie.
Warm-up et jumping
Seul un nombre limité de cavaliers pourront être présents lors de l'échauffement. Les grooms doivent porter des gants. Chaque cavalier est assigné à un obstacle qui ne peut être levé que par son groom. Dans l'arène même de la compétition, trois cavaliers au maximum sont autorisés. Après avoir sauté leur parcours, les cavaliers doivent immédiatement quitter le terrain de compétition.
Désinfection
Les cavaliers doivent se désinfecter les mains régulièrement. Pour rendre cela possible, plusieurs poteaux avec du gel désinfectant étaient présents. Des gants en caoutchouc ont également été offerts sur les lieux aux grooms qui n'avaient pas de gants avec eux.
La semaine prochaine, il y aura à nouveau des activités à l'Azelhof, au parc Sentower et à Lummen.