Glenn Geerts et Dries Degrieck reçoivent une wildcard pour Malines
Une wildcard pour la manche de la Coupe du monde à Malines… Osez-vous encore vous réjouir ?
“Bien sûr, nous devons rester positifs. Cette année, bien sûr, cette incertitude est également ancrée dans nos têtes, et elle ne disparaîtra qu’une fois que nous y serons. Mais d’un autre côté, je me réjouis vraiment de pouvoir participer à Malines pour la neuvième fois. Que le concours se déroule cette année au Azelhof à Lier cette année me convient parfaitement. Le Nekkerhal restera bien sûr un lieu spécial, presque mythique, pour tout amateur d’équitation, mais je suis particulièrement reconnaissant à l’organisation d’avoir trouvé une alternative digne en ces temps difficiles.
Bien sûr, je connais Azelhof, mais je n’y ai jamais été avec mes chevaux. Ce sera un défi supplémentaire !”
Quand avez-vous fait votre dernière concours cette année ?
“Avec mon attelage indoor, j’ai participé à la finale de la Coupe du monde à Bordeaux en février, et à une épreuve show au Flanders Horse Expo à Gand. C’est mon attelage outdoor qui a le plus souffert de toute cette situation. Avec eux, je n’ai pu participer qu’à un seul concours cet été.”
Pouvez-vous rester motivé de cette façon ?
“Cela va vraiment avec des hauts et des bas. Il y a des jours où je pense à mettre tous mes chevaux au pâturage…. Mais cela ne dure généralement pas longtemps. Je n’entraîne pas non plus mes chevaux à fond pour l’instant, disons que je les fais bouger. Mes chevaux ne sont pas au sommet de leur forme en ce moment. J’ai commencé à entraîner mes chevaux indoor plus tard cette année, je les travaille intensivement depuis deux semaines maintenant en vue de la Coupe du monde de Genève dans trois semaines.”
L’absence de concours signifie également que vous voyez beaucoup moins vos collègues. Avez-vous beaucoup de contact avec votre coéquipier, Dries Degrieck ?
” Oui, nous ne nous sommes plus vus depuis l’été, mais nous parlons au moins une fois par semaine, des chevaux, mais aussi de sujets professionnels ou personnels. Je reste également en contact avec Edouard Simonet.”
Si tout va bien, où vous verra-t-on au travail au cours de la période à venir ?
“Comme je l’ai dit, la Coupe du monde de Genève est maintenant la première à l’ordre du jour, suivie de Malines et de Leipzig au début de l’année prochaine. Et si la finale à Bordeaux peut avoir lieu, je suis déjà sûr d’y avoir une place. En raison de la crise de Corona, les sélections n’ont pas pu se dérouler comme prévu, et ils ont décidé de laisser au départ les six mêmes meneurs que l’année dernière!”
Sans public…
” Oui, pour moi, le public est un facteur très important. La pression qui vient du public pour faire encore mieux et plus vite, la sensation, l’adrénaline,…. C’est une grande partie de notre sport. Il va donc falloir s’habituer… Mais même sans public, j’ai hâte de sortir à nouveau avec mes chevaux !
Source:FRBSE
Une wildcard pour la manche de la Coupe du monde à Malines… Osez-vous encore vous réjouir ?
“Bien sûr, nous devons rester positifs. Cette année, bien sûr, cette incertitude est également ancrée dans nos têtes, et elle ne disparaîtra qu’une fois que nous y serons. Mais d’un autre côté, je me réjouis vraiment de pouvoir participer à Malines pour la neuvième fois. Que le concours se déroule cette année au Azelhof à Lier cette année me convient parfaitement. Le Nekkerhal restera bien sûr un lieu spécial, presque mythique, pour tout amateur d’équitation, mais je suis particulièrement reconnaissant à l’organisation d’avoir trouvé une alternative digne en ces temps difficiles.
Bien sûr, je connais Azelhof, mais je n’y ai jamais été avec mes chevaux. Ce sera un défi supplémentaire !”
Quand avez-vous fait votre dernière concours cette année ?
“Avec mon attelage indoor, j’ai participé à la finale de la Coupe du monde à Bordeaux en février, et à une épreuve show au Flanders Horse Expo à Gand. C’est mon attelage outdoor qui a le plus souffert de toute cette situation. Avec eux, je n’ai pu participer qu’à un seul concours cet été.”
Pouvez-vous rester motivé de cette façon ?
“Cela va vraiment avec des hauts et des bas. Il y a des jours où je pense à mettre tous mes chevaux au pâturage…. Mais cela ne dure généralement pas longtemps. Je n’entraîne pas non plus mes chevaux à fond pour l’instant, disons que je les fais bouger. Mes chevaux ne sont pas au sommet de leur forme en ce moment. J’ai commencé à entraîner mes chevaux indoor plus tard cette année, je les travaille intensivement depuis deux semaines maintenant en vue de la Coupe du monde de Genève dans trois semaines.”
L’absence de concours signifie également que vous voyez beaucoup moins vos collègues. Avez-vous beaucoup de contact avec votre coéquipier, Dries Degrieck ?
” Oui, nous ne nous sommes plus vus depuis l’été, mais nous parlons au moins une fois par semaine, des chevaux, mais aussi de sujets professionnels ou personnels. Je reste également en contact avec Edouard Simonet.”
Si tout va bien, où vous verra-t-on au travail au cours de la période à venir ?
“Comme je l’ai dit, la Coupe du monde de Genève est maintenant la première à l’ordre du jour, suivie de Malines et de Leipzig au début de l’année prochaine. Et si la finale à Bordeaux peut avoir lieu, je suis déjà sûr d’y avoir une place. En raison de la crise de Corona, les sélections n’ont pas pu se dérouler comme prévu, et ils ont décidé de laisser au départ les six mêmes meneurs que l’année dernière!”
Sans public…
” Oui, pour moi, le public est un facteur très important. La pression qui vient du public pour faire encore mieux et plus vite, la sensation, l’adrénaline,…. C’est une grande partie de notre sport. Il va donc falloir s’habituer… Mais même sans public, j’ai hâte de sortir à nouveau avec mes chevaux !
Source:FRBSE