A 36 ans, le cavalier jurassien figure depuis de longues années au firmament du saut d’obstacles mondial. Il fera partie des 50 stars mondiales engagées dans le CSI5* du Jumping International de Dinard, organisé du 2 au 5 août prochain sur le mythique stade du Val Porée. Rencontre avec un champion… Après avoir débuté à l’âge de neuf ans avec Roger Bourquard, le jeune cavalier, repéré très tôt pour son talent, rejoint les écuries de Beat Mändli, intègre l’équipe suisse des juniors, et décroche le titre national en 1998. En 2002, il devient le cavalier de tête de Jan Tops, chez qui il restera plus de trois ans. Au cours de cette période, Steve participe aux Jeux Olympiques d’Athènes (7e par équipes), et remporte deux médailles européennes (bronze en 2003 et argent en 2005). En 2012, Steve décroche l’or olympique individuel à Londres avec Nino des Buissonnets, puis inscrit à son palmarès la finale Coupe du Monde de Las Vegas en 2015 et réitère l’exploit à Göteborg en 2016. Depuis 2017, Steve Guerdat est basé dans ses propres installations à Elgg, dans le canton de Zürich. Il pointe actuellement à la 3e place du classement mondial. Vous concourez sur les plus grands terrains du monde. Que représente pour vous le Jumping International de Dinard ? Steve Guerdat : Pour moi, le concours de Dinard est « top classe ». De A à Z, tout est extraordinaire. Bien sûr l’ambiance contribue à la réussite de l’ensemble, mais c’est aussi un concours qui a une longue histoire, la piste est fantastique, elle est différente, elle génère des difficultés aux cavaliers, l’organisation est parfaite, les terrains de détente, et tout ce qui va avec, sont fantastiques. Pour moi c’est à coup sûr l’un des cinq meilleurs concours au monde, et de très loin l’un de mes préférés. En 2017, j’étais littéralement bluffé. C’est pour des concours comme ceux-là que l’on se motive et que l’on veut faire ce sport. C’est une chance d’avoir encore quelques concours de ce genre, et des organisateurs qui font de tels événements pour notre sport. Cette année, je viendrai sauf si j’ai deux jambes cassées ! Vous êtes l’un des Témoignages Rolex, pour quelles raisons avez-vous choisi d’associer votre image à celle de l’horloger suisse ? S. G. : Il n’y a pas que des hasards dans la vie, j’aime m’associer à des sponsors et à des marques pas uniquement pour des raisons financières mais aussi pour les valeurs qu’ils véhiculent et ce qu’ils représentent. On voit bien que Rolex, contrairement à d’autres sponsors, s’associe à des événements qui privilégient le sport, comme le concours de Dinard.
A 36 ans, le cavalier jurassien figure depuis de longues années au firmament du saut d’obstacles mondial. Il fera partie des 50 stars mondiales engagées dans le CSI5* du Jumping International de Dinard, organisé du 2 au 5 août prochain sur le mythique stade du Val Porée. Rencontre avec un champion… Après avoir débuté à l’âge de neuf ans avec Roger Bourquard, le jeune cavalier, repéré très tôt pour son talent, rejoint les écuries de Beat Mändli, intègre l’équipe suisse des juniors, et décroche le titre national en 1998. En 2002, il devient le cavalier de tête de Jan Tops, chez qui il restera plus de trois ans. Au cours de cette période, Steve participe aux Jeux Olympiques d’Athènes (7e par équipes), et remporte deux médailles européennes (bronze en 2003 et argent en 2005). En 2012, Steve décroche l’or olympique individuel à Londres avec Nino des Buissonnets, puis inscrit à son palmarès la finale Coupe du Monde de Las Vegas en 2015 et réitère l’exploit à Göteborg en 2016. Depuis 2017, Steve Guerdat est basé dans ses propres installations à Elgg, dans le canton de Zürich. Il pointe actuellement à la 3e place du classement mondial. Vous concourez sur les plus grands terrains du monde. Que représente pour vous le Jumping International de Dinard ? Steve Guerdat : Pour moi, le concours de Dinard est « top classe ». De A à Z, tout est extraordinaire. Bien sûr l’ambiance contribue à la réussite de l’ensemble, mais c’est aussi un concours qui a une longue histoire, la piste est fantastique, elle est différente, elle génère des difficultés aux cavaliers, l’organisation est parfaite, les terrains de détente, et tout ce qui va avec, sont fantastiques. Pour moi c’est à coup sûr l’un des cinq meilleurs concours au monde, et de très loin l’un de mes préférés. En 2017, j’étais littéralement bluffé. C’est pour des concours comme ceux-là que l’on se motive et que l’on veut faire ce sport. C’est une chance d’avoir encore quelques concours de ce genre, et des organisateurs qui font de tels événements pour notre sport. Cette année, je viendrai sauf si j’ai deux jambes cassées ! Vous êtes l’un des Témoignages Rolex, pour quelles raisons avez-vous choisi d’associer votre image à celle de l’horloger suisse ? S. G. : Il n’y a pas que des hasards dans la vie, j’aime m’associer à des sponsors et à des marques pas uniquement pour des raisons financières mais aussi pour les valeurs qu’ils véhiculent et ce qu’ils représentent. On voit bien que Rolex, contrairement à d’autres sponsors, s’associe à des événements qui privilégient le sport, comme le concours de Dinard.