Le travail d’un vétérinaire d’équipe commence bien avant la compétition en elle-même. En effet, Frederik explique qu’il fait le suivi vétérinaire des chevaux en vue de l’événement : « Je contrôle les chevaux au préalable afin d’assurer leur bonne forme physique et leur capacité à livrer de bonnes prestations. » Par exemple, Jef assiste aux concours de qualification en concours complet. « Le vétérinaire d’équipe donne aussi son avis médical au sélectionneur, concernant la santé des chevaux lors de la phase de sélection », explique Benoit. « En endurance, on s’occupe également du suivi de l’entrainement des chevaux sélectionnés, grâce à des tests à l’effort, bilans sanguin, conseils en nutrition, etc… ».
Les vétérinaires sont évidemment sur le pied de guerre lors des grands événements. Ils évaluent et suivent les combinaisons pendant toute la compétition. « Si possible, je traite les éventuelles blessures (ou accidents) sur place », ajoute Frederik. La supervision des contrôles vétérinaires de course (entrée au vet-check, rapport avec les vétérinaires de lignes, suivie des récupérations…) fait également partie des tâches de Benoît en endurance.
La vie d’un vétérinaire d’équipe n’est malheureusement pas toujours un long fleuve tranquille. Jeroen trouve que la tâche la plus difficile est la décision de ne pas laisser participer un cheval avant ou pendant la compétition pour raisons médicales fondées. Mélanie confirme : « C’est vraiment dur lorsqu’une blessure survenue en concours nous force à empêcher le cheval de continuer. »
Lorsque nous leur demandons quels sont leurs plus beaux souvenirs, il leur est bien difficile de choisir un moment en particulier. Mélanie sourit : « Cela prendrait trop de place si je devais tous les énumérer. » Ceux qui ont eu l’opportunité d’aller aux Jeux Olympiques ou Paralympiques, comme Frederik, Jeroen ou Jef, en parle comme d’une expérience magnifique. Les médailles remportées en équipe ou en individuel lors de Jeux Equestres Mondiaux, JO ou autres Ch. d’Europe leur évoquent évidemment de très belles images. Par exemple, Jef cite la médaille d’or en jumping de Jos Lansink aux JEM d’Aix en 2006 suivie par celle de Philippe Le Jeune 4 ans plus tard au Kentucky ainsi que le bronze pour l’équipe. Jeroen évoque les multiples médailles d’or de Michèle George ainsi que la médaille d’argent par équipe au Ch. d’Europe d’attelage (Ecouard Simonet, Glenn Geerts, Dries Degrieck) à Göteborg l’année passée. Mélanie se réjouit surtout à chaque fois de voir la bonne ambiance entre le chef d’équipe, les cavaliers, les grooms, les entraineurs et chevaux qui travaillent tous ensemble pour obtenir les meilleurs résultats possibles.
Benoît conclu par souligner l’importance d’une bonne collaboration entre les vétérinaires d’équipes et les vétérinaires des cavaliers : « Le cheval a un passé médical que seul le vétérinaire du cavalier connait parfaitement. Nous devons être complémentaires. Si la collaboration est bonne, tout le monde y gagne ! »
Le travail d’un vétérinaire d’équipe commence bien avant la compétition en elle-même. En effet, Frederik explique qu’il fait le suivi vétérinaire des chevaux en vue de l’événement : « Je contrôle les chevaux au préalable afin d’assurer leur bonne forme physique et leur capacité à livrer de bonnes prestations. » Par exemple, Jef assiste aux concours de qualification en concours complet. « Le vétérinaire d’équipe donne aussi son avis médical au sélectionneur, concernant la santé des chevaux lors de la phase de sélection », explique Benoit. « En endurance, on s’occupe également du suivi de l’entrainement des chevaux sélectionnés, grâce à des tests à l’effort, bilans sanguin, conseils en nutrition, etc… ».
Les vétérinaires sont évidemment sur le pied de guerre lors des grands événements. Ils évaluent et suivent les combinaisons pendant toute la compétition. « Si possible, je traite les éventuelles blessures (ou accidents) sur place », ajoute Frederik. La supervision des contrôles vétérinaires de course (entrée au vet-check, rapport avec les vétérinaires de lignes, suivie des récupérations…) fait également partie des tâches de Benoît en endurance.
La vie d’un vétérinaire d’équipe n’est malheureusement pas toujours un long fleuve tranquille. Jeroen trouve que la tâche la plus difficile est la décision de ne pas laisser participer un cheval avant ou pendant la compétition pour raisons médicales fondées. Mélanie confirme : « C’est vraiment dur lorsqu’une blessure survenue en concours nous force à empêcher le cheval de continuer. »
Lorsque nous leur demandons quels sont leurs plus beaux souvenirs, il leur est bien difficile de choisir un moment en particulier. Mélanie sourit : « Cela prendrait trop de place si je devais tous les énumérer. » Ceux qui ont eu l’opportunité d’aller aux Jeux Olympiques ou Paralympiques, comme Frederik, Jeroen ou Jef, en parle comme d’une expérience magnifique. Les médailles remportées en équipe ou en individuel lors de Jeux Equestres Mondiaux, JO ou autres Ch. d’Europe leur évoquent évidemment de très belles images. Par exemple, Jef cite la médaille d’or en jumping de Jos Lansink aux JEM d’Aix en 2006 suivie par celle de Philippe Le Jeune 4 ans plus tard au Kentucky ainsi que le bronze pour l’équipe. Jeroen évoque les multiples médailles d’or de Michèle George ainsi que la médaille d’argent par équipe au Ch. d’Europe d’attelage (Ecouard Simonet, Glenn Geerts, Dries Degrieck) à Göteborg l’année passée. Mélanie se réjouit surtout à chaque fois de voir la bonne ambiance entre le chef d’équipe, les cavaliers, les grooms, les entraineurs et chevaux qui travaillent tous ensemble pour obtenir les meilleurs résultats possibles.
Benoît conclu par souligner l’importance d’une bonne collaboration entre les vétérinaires d’équipes et les vétérinaires des cavaliers : « Le cheval a un passé médical que seul le vétérinaire du cavalier connait parfaitement. Nous devons être complémentaires. Si la collaboration est bonne, tout le monde y gagne ! »