Maikel Van der Vleuten, premier cavalier sponsorisé par Massimo Dutti, et son père, Eric Van der Vleuten, entraîneur reconnu de CSO, nous reçoivent dans leur propriété, à Someren, une ville située au sud des Pays-Bas qui offre les meilleures conditions pour la pratique et jouissance du sport équestre.
Eric Van der Vleuten a travaillé toute sa vie entouré de chevaux. Il a été cavalier de commerce, cavalier de compétition, entraîneur, préparateur et marchand. Une histoire de succès qui lui a permis de construire une magnifique installation à Someren (Pays-Bas) où il s’est installé il y a déjà quelques années avec sa famille et, bien sûr, avec ses chevaux.
Le temps galope. Qu’en est-il aujourd’hui de ce jeune Eric qui à 14 ans a décidé de consacrer sa vie professionnelle à l’équitation?
J'ai commencé à monter dès mon plus jeune âge pour m’amuser et quand j'ai fini l'école, j'ai décidé que je voulais consacrer ma vie professionnelle à ce sport. Pendant deux ans et demi, j’ai monté pour Henk Nooren et à 25 ans j'ai décidé de créer ma propre écurie.Qui est le plus important dans le binôme cavalier-cheval?
Je crois que les deux sont très importants. Tous les cavaliers qui sont maintenant au top du classement sont tous de très bons cavaliers, c'est un équilibre entre les deux. Il y a des cavaliers qui n'ont pas de grands résultats avec un cheval et cependant ce cheval avec un autre cavalier oui. L’entente entre les deux est très importante: la mentalité et le style d’équitation.Les experts disent qu’il y a eu une grande évolution morphologique et génétique dans le cheval de compétition. Departamento de Comunicación www.oxersport.com 2 de 4 Est-ce que le cheval de concours a autant changé lors des dernières années?
Sans aucun doute. De nos jours les parcours sont de plus en plus techniques et les obstacles plus délicats. Maintenant on voit des chevaux avec plus de sang et plus chauds, très méticuleux et très puissants. Pour gagner, les chevaux d’aujourd’hui doivent tout avoir, parce qu’ils font beaucoup de concours par an et de haut niveau technique, c’est pour cela qu’ils doivent avoir beaucoup de qualités en plus d’être rapide. Auparavant, les chevaux devaient sauter des obstacles très hauts et de nos jours ce sont des obstacles plus techniques, plus délicats où la barre tombe plus facilement. Il est donc très important que le cheval possède une grande capacité de réaction, puisse allonger et raccourcirLe calendrier de compétition est très exigeant et les jeunes cavaliers dominent le Rankine mondial. En quoi le sport équestre a-t-il changé?
De nos jours il y a beaucoup de concours, tous les week-ends il y a un 5*. Il y a quelques années il y avait un seul 5* par mois. Ayant plus de concours, il y a plus de cavaliers et les jeunes cavaliers ont l’opportunité de prendre part de compétitions importantes et de rivaliser avec les meilleurs cavaliers, ce qui les fait s’améliorer. Ça c’est ce qui fait que le niveau augmente chaque jour. Quels sont les défis d’Eric Van der Vleuten pour la saison 2018? Maintenant mes objectifs sont concentrés dans l’équipe Madrid In Motion de GCL. On va essayer d’obtenir les meilleurs résultats et avoir le passeport pour Prague. Comment est Wunschkind? Nous l’avons achetée il y a un peu plus d’un an, quand je faisais des concours 2*. La dernière saison elle a fait plusieurs 5* et j’espère qu’on va obtenir de meilleurs résultats maintenant qu’elle a plus d’expérience. C’est une grande jument (dans tous les sens du terme), ella a une très bonne tête, elle est très méticuleuse et essaye toujours de faire de son mieux2018 a commencé très intensément pour Maikel. En janvier sa première fille est née et, au le concours d’Amsterdam, il s’est blessé à la main. Maintenant, après s’être remis, il affronte une saison longue et exigeante. Quels sont les plans de Maikel pour cette année?
Mes objectifs cette année sont centrés dans les circuits Longines Global Champions Tour et Global Champions League. L’année dernière je me suis classé deuxième dans le classement général et cette année je veux tenter de gagner, pourquoi pas. Dans la compétition par équipes je crois qu’on a une grande équipe, Madrid In Motion, avec laquelle j’espère qu’on va obtenir de bons résultats et qu’on à Prague en fin d’année. À la fin de l’année il y a les championnats du monde et j’aimerais pouvoir participer avec Idi Utopia. Elle n’a pas beaucoup d’expérience mais je pense qu’elle peut bien le faire.Maikel Van der Vleuten, premier cavalier sponsorisé par Massimo Dutti, et son père, Eric Van der Vleuten, entraîneur reconnu de CSO, nous reçoivent dans leur propriété, à Someren, une ville située au sud des Pays-Bas qui offre les meilleures conditions pour la pratique et jouissance du sport équestre.
Eric Van der Vleuten a travaillé toute sa vie entouré de chevaux. Il a été cavalier de commerce, cavalier de compétition, entraîneur, préparateur et marchand. Une histoire de succès qui lui a permis de construire une magnifique installation à Someren (Pays-Bas) où il s’est installé il y a déjà quelques années avec sa famille et, bien sûr, avec ses chevaux.
Le temps galope. Qu’en est-il aujourd’hui de ce jeune Eric qui à 14 ans a décidé de consacrer sa vie professionnelle à l’équitation?
J'ai commencé à monter dès mon plus jeune âge pour m’amuser et quand j'ai fini l'école, j'ai décidé que je voulais consacrer ma vie professionnelle à ce sport. Pendant deux ans et demi, j’ai monté pour Henk Nooren et à 25 ans j'ai décidé de créer ma propre écurie.Qui est le plus important dans le binôme cavalier-cheval?
Je crois que les deux sont très importants. Tous les cavaliers qui sont maintenant au top du classement sont tous de très bons cavaliers, c'est un équilibre entre les deux. Il y a des cavaliers qui n'ont pas de grands résultats avec un cheval et cependant ce cheval avec un autre cavalier oui. L’entente entre les deux est très importante: la mentalité et le style d’équitation.Les experts disent qu’il y a eu une grande évolution morphologique et génétique dans le cheval de compétition. Departamento de Comunicación www.oxersport.com 2 de 4 Est-ce que le cheval de concours a autant changé lors des dernières années?
Sans aucun doute. De nos jours les parcours sont de plus en plus techniques et les obstacles plus délicats. Maintenant on voit des chevaux avec plus de sang et plus chauds, très méticuleux et très puissants. Pour gagner, les chevaux d’aujourd’hui doivent tout avoir, parce qu’ils font beaucoup de concours par an et de haut niveau technique, c’est pour cela qu’ils doivent avoir beaucoup de qualités en plus d’être rapide. Auparavant, les chevaux devaient sauter des obstacles très hauts et de nos jours ce sont des obstacles plus techniques, plus délicats où la barre tombe plus facilement. Il est donc très important que le cheval possède une grande capacité de réaction, puisse allonger et raccourcirLe calendrier de compétition est très exigeant et les jeunes cavaliers dominent le Rankine mondial. En quoi le sport équestre a-t-il changé?
De nos jours il y a beaucoup de concours, tous les week-ends il y a un 5*. Il y a quelques années il y avait un seul 5* par mois. Ayant plus de concours, il y a plus de cavaliers et les jeunes cavaliers ont l’opportunité de prendre part de compétitions importantes et de rivaliser avec les meilleurs cavaliers, ce qui les fait s’améliorer. Ça c’est ce qui fait que le niveau augmente chaque jour. Quels sont les défis d’Eric Van der Vleuten pour la saison 2018? Maintenant mes objectifs sont concentrés dans l’équipe Madrid In Motion de GCL. On va essayer d’obtenir les meilleurs résultats et avoir le passeport pour Prague. Comment est Wunschkind? Nous l’avons achetée il y a un peu plus d’un an, quand je faisais des concours 2*. La dernière saison elle a fait plusieurs 5* et j’espère qu’on va obtenir de meilleurs résultats maintenant qu’elle a plus d’expérience. C’est une grande jument (dans tous les sens du terme), ella a une très bonne tête, elle est très méticuleuse et essaye toujours de faire de son mieux2018 a commencé très intensément pour Maikel. En janvier sa première fille est née et, au le concours d’Amsterdam, il s’est blessé à la main. Maintenant, après s’être remis, il affronte une saison longue et exigeante. Quels sont les plans de Maikel pour cette année?
Mes objectifs cette année sont centrés dans les circuits Longines Global Champions Tour et Global Champions League. L’année dernière je me suis classé deuxième dans le classement général et cette année je veux tenter de gagner, pourquoi pas. Dans la compétition par équipes je crois qu’on a une grande équipe, Madrid In Motion, avec laquelle j’espère qu’on va obtenir de bons résultats et qu’on à Prague en fin d’année. À la fin de l’année il y a les championnats du monde et j’aimerais pouvoir participer avec Idi Utopia. Elle n’a pas beaucoup d’expérience mais je pense qu’elle peut bien le faire.