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Adieux Vivant van de Heffinck

Au lendemain de son dix-huitième anniversaire, Vivant van de Heffinck tire sa révérence et se retire du sport. Né un vendredi de mai '98, Hubert Hamerlinck (élevage van de Heffinck) avait misé sur un croisement de sang Fuego du Prelet x Landino pour produire un champion. Mission réussie pour le naisseur flamand. À seulement dix ans, l’entier foulait des pistes de renom sous selle australienne (Chris Chugg). Sous drapeau ukrainien depuis 2011, après l’acquisition par Oleksandr Onyshchenko, Vivant a continué de montrer sa singularité. Avec force, respect et mental de compétiteur, il a représenté les couleurs bleue et jaune sur près de 20 Coupes des nations à travers le monde. Associé à Cassio Rivetti, le bai a foulé les plus beaux terrains équestres. À Saint-Gall, Barcelone ou encore Rome, Vivant a brillé. Classé dans les Grands Prix de Valkenswaard, Dublin, Gijón mais aussi Doha, le téméraire a marqué les esprits de nombreux passionnés. Ces mêmes adeptes qui retiendront notamment la huitième place individuelle aux Jeux équestres mondiaux qu’il s’est offert à Caen en 2014. « Vivant se comporte encore tel un jeune étalon à chacune de ses sorties. Il a un super moral mais, après tout ce qu’il a donné, c’était le bon moment. Nous avons un tel respect pour ce qu’il a accompli que nous souhaitons qu’il s’arrête sur de beaux parcours… » Avec son caractère bien trempé, Vivant a été suivi durant toutes ces années de compétitions par des professionnels qui le portaient dans leur cœur et sans lesquelles sa carrière n’aurait peut-être pas été aussi remarquable ; merci à elles. Merci Vivant, toi le champion dévoué sans qui tout cela n’aurait été possible. Ces fantastiques moments de sport resteront inoubliables.

Au lendemain de son dix-huitième anniversaire, Vivant van de Heffinck tire sa révérence et se retire du sport. Né un vendredi de mai '98, Hubert Hamerlinck (élevage van de Heffinck) avait misé sur un croisement de sang Fuego du Prelet x Landino pour produire un champion. Mission réussie pour le naisseur flamand. À seulement dix ans, l’entier foulait des pistes de renom sous selle australienne (Chris Chugg). Sous drapeau ukrainien depuis 2011, après l’acquisition par Oleksandr Onyshchenko, Vivant a continué de montrer sa singularité. Avec force, respect et mental de compétiteur, il a représenté les couleurs bleue et jaune sur près de 20 Coupes des nations à travers le monde. Associé à Cassio Rivetti, le bai a foulé les plus beaux terrains équestres. À Saint-Gall, Barcelone ou encore Rome, Vivant a brillé. Classé dans les Grands Prix de Valkenswaard, Dublin, Gijón mais aussi Doha, le téméraire a marqué les esprits de nombreux passionnés. Ces mêmes adeptes qui retiendront notamment la huitième place individuelle aux Jeux équestres mondiaux qu’il s’est offert à Caen en 2014. « Vivant se comporte encore tel un jeune étalon à chacune de ses sorties. Il a un super moral mais, après tout ce qu’il a donné, c’était le bon moment. Nous avons un tel respect pour ce qu’il a accompli que nous souhaitons qu’il s’arrête sur de beaux parcours… » Avec son caractère bien trempé, Vivant a été suivi durant toutes ces années de compétitions par des professionnels qui le portaient dans leur cœur et sans lesquelles sa carrière n’aurait peut-être pas été aussi remarquable ; merci à elles. Merci Vivant, toi le champion dévoué sans qui tout cela n’aurait été possible. Ces fantastiques moments de sport resteront inoubliables.

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