Quel match ! Si les Riders Europe ont remporté à New York la seconde édition de la Riders Masters Cup, le grand vainqueur de cette soirée au NYCB LIVE, c’est bien le concept même de cette compétition, présentée par EEM et créée en collaboration avec la EEF, qui a été exaltante de bout en bout, facilement compréhensible et qui a tenu en haleine les spectateurs à peine déçus de la défaite des leurs. Scénario de la soirée…
Les duels de la première manche, sur un barème A au chronomètre, donnaient un point à chaque vainqueur. Kévin Staut fut le premier à marquer face à McLain Ward. Un avantage qui allait se confirmer au fil de cette première série de cinq battles sur un parcours de 12 obstacles dont un triple.
Seul Grégory Wathelet s’est fait surprendre par Beezie Madden, enfin par son étalon MJT Nevados S auteur d’une petite faute. Ainsi, les Riders Europe menaient
4 – 1 à la mi-temps, un avantage qui permettait au coach européen, Philippe Guerdat, de choisir trois des cinq adversaires de ses cavaliers pour la seconde manche au barème C où, cette fois-ci, chaque victoire donnait deux points. Tout pouvait être remis en question ! Guerdat choisissait de lancer son « U25 », le Belge Olivier Philippaerts en premier dans la bataille face à Laura Kraut, préférant sacrifier le cheval le moins rapide de son équipe : un choix qui permettait aux #Riders USA de remonter à
3 – 4. Les choses se sont encore un peu plus compliquées pour les #Riders Europe quand Ayade de Septon*HDC, un peu tendue par l’ambiance du NYCB LIVE, faisait tomber une barre : Kevin Staut perdait ainsi son duel et permettait à Beezie Madden de marquer deux autres points pour les Riders USA qui prenaient alors le commandement :
5 – 4. Une pression que Georgina Bloomberg augmentait en signant un très rapide sans-faute avec Paola : Grégory Wathelet n’avait pas d’autre choix que d’aller encore plus vite, ce qu’il paya de deux fautes : 7 – 4 pour les Riders USA qui pouvaient commencer à sentir le savoureux goût de la revanche. Mais dans ce sport, rien n’est jamais joué avant le dernier parcours. Il ne restait plus qu’une seule option pour les Riders Europe : remporter les deux derniers duels. Première partie du contrat remplie par le Champion d’Europe Peder Fredricson aux dépend de la « U 25 » des #Riders USA, Adrienne Sternlicht qui s’est pourtant farouchement battue jusqu’au bout, menaçant le chrono du Suédois mais accrochant le dernier obstacle avec Pembroke.
7 – 6 ! La décision allait donc se faire sur le dernier duel entre un ancien et le futur n°1 mondial : McLain Ward et Harrie Smolders. Le scénario parfait ! L’Américain ouvrait le bal avec HH Gigi’S Girl.
Un parcours qui semblait prudent, mais avec des virages courts et finalement le meilleur chrono jusqu’alors : 54"82. Le sort de l’Europe allait dépendre de la vitesse de Cas 2, le cheval d’Harrie Smolders. La vitesse, un art que maîtrise complètement le cavalier néerlandais qui a parfaitement supporté le poids de l’Europe qu’il avait sur les épaules : 52"91 !!! Quel spectacle et quel dénouement puisqu’il a fallu attendre ce dernier parcours pour connaître le résultat final : 8-7 pour les Riders Europe et deuxième victoire en deux matchs. La grande histoire des la Riders Masters Cup est bel et bien lancée et les #Riders USA attendent déjà le Longines Masters de Paris avec impatience et parlaient déjà de revanche
Quel match ! Si les Riders Europe ont remporté à New York la seconde édition de la Riders Masters Cup, le grand vainqueur de cette soirée au NYCB LIVE, c’est bien le concept même de cette compétition, présentée par EEM et créée en collaboration avec la EEF, qui a été exaltante de bout en bout, facilement compréhensible et qui a tenu en haleine les spectateurs à peine déçus de la défaite des leurs. Scénario de la soirée…
Les duels de la première manche, sur un barème A au chronomètre, donnaient un point à chaque vainqueur. Kévin Staut fut le premier à marquer face à McLain Ward. Un avantage qui allait se confirmer au fil de cette première série de cinq battles sur un parcours de 12 obstacles dont un triple.
Seul Grégory Wathelet s’est fait surprendre par Beezie Madden, enfin par son étalon MJT Nevados S auteur d’une petite faute. Ainsi, les Riders Europe menaient
4 – 1 à la mi-temps, un avantage qui permettait au coach européen, Philippe Guerdat, de choisir trois des cinq adversaires de ses cavaliers pour la seconde manche au barème C où, cette fois-ci, chaque victoire donnait deux points. Tout pouvait être remis en question ! Guerdat choisissait de lancer son « U25 », le Belge Olivier Philippaerts en premier dans la bataille face à Laura Kraut, préférant sacrifier le cheval le moins rapide de son équipe : un choix qui permettait aux #Riders USA de remonter à
3 – 4. Les choses se sont encore un peu plus compliquées pour les #Riders Europe quand Ayade de Septon*HDC, un peu tendue par l’ambiance du NYCB LIVE, faisait tomber une barre : Kevin Staut perdait ainsi son duel et permettait à Beezie Madden de marquer deux autres points pour les Riders USA qui prenaient alors le commandement :
5 – 4. Une pression que Georgina Bloomberg augmentait en signant un très rapide sans-faute avec Paola : Grégory Wathelet n’avait pas d’autre choix que d’aller encore plus vite, ce qu’il paya de deux fautes : 7 – 4 pour les Riders USA qui pouvaient commencer à sentir le savoureux goût de la revanche. Mais dans ce sport, rien n’est jamais joué avant le dernier parcours. Il ne restait plus qu’une seule option pour les Riders Europe : remporter les deux derniers duels. Première partie du contrat remplie par le Champion d’Europe Peder Fredricson aux dépend de la « U 25 » des #Riders USA, Adrienne Sternlicht qui s’est pourtant farouchement battue jusqu’au bout, menaçant le chrono du Suédois mais accrochant le dernier obstacle avec Pembroke.
7 – 6 ! La décision allait donc se faire sur le dernier duel entre un ancien et le futur n°1 mondial : McLain Ward et Harrie Smolders. Le scénario parfait ! L’Américain ouvrait le bal avec HH Gigi’S Girl.
Un parcours qui semblait prudent, mais avec des virages courts et finalement le meilleur chrono jusqu’alors : 54"82. Le sort de l’Europe allait dépendre de la vitesse de Cas 2, le cheval d’Harrie Smolders. La vitesse, un art que maîtrise complètement le cavalier néerlandais qui a parfaitement supporté le poids de l’Europe qu’il avait sur les épaules : 52"91 !!! Quel spectacle et quel dénouement puisqu’il a fallu attendre ce dernier parcours pour connaître le résultat final : 8-7 pour les Riders Europe et deuxième victoire en deux matchs. La grande histoire des la Riders Masters Cup est bel et bien lancée et les #Riders USA attendent déjà le Longines Masters de Paris avec impatience et parlaient déjà de revanche