Cette année, tous les yeux sont tournés vers les Jeux Olympiques de Rio. En août, les meilleurs athlètes du monde se rassembleront et s'affronteront pour acquérir une gloire éternelle. Mais quand les sports équestres se trouvent-ils dans l'allégresse des Jeux ? Quels sont les moments équestres les plus magiques ?
Avec un peu moins de 100 jours seulement avant les Jeux Olympiques, il est temps de se préparer et de s'intéresser à certaines anecdotes du passé. Le jumping fut créé au XVIIIème siècle par une décision du Parlement Britannique qui ferma des espaces ouverts ; les chevaux commencent alors à sauter des haies et des barrières. Le premier concours de saut officiel se déroula en Irlande, en 1900. Il comptait alors trois épreuves : saut en hauteur, saut en longueur, et contre-la-montre. 12 ans plus tard seulement, les concours de saut d'obstacle comptaient plusieurs obstacles à enchaîner : le saut d'obstacle tel que nous le connaissons aujourd'hui était né. En 1912, c'est l'italien Federico Caprilli qui pose les bases des sports équestres modernes, à Stockholm.
Les Jeux Olympiques Equestres ont connu des moments magiques ; en 1948 à Londres, le cheval borgne Riding Arete et son cavalier le mexicain Humberto Mariles deviennent les champions en individuel et par équipe, remportant les toutes premières médailles d'or mexicaines. Quelques années plus tard, en 1960 à Rome, les frères italiens Raimondo et Piero D'Inzeo gagnent respectivement la médaille d'or et la médaille d'argent des Jeux Olympiques, au plus grand plaisir de la foule venue les soutenir.
Plus récemment, aux Jeux de Londres en 2012, le canadien Ian Miller, âgé de 65 ans, devient le cavalier qui a le plus participé aux Jeux Olympiques : il y prend part 10 fois, entre 1972 et 2012. Le cavalier de saut qui détiet le record de médailles reste l'allemand Hans Günter Winkler (7 médailles, dont 5 en or). Demeurée sans médaille depuis les Jeux d'Athènes en 2004, l'Allemagne tentera de surpasser ce record à Rio, grâce à son éuipe composée notamment de Marcus Ehning et Ludger Beerbaum.
Cette année, tous les yeux sont tournés vers les Jeux Olympiques de Rio. En août, les meilleurs athlètes du monde se rassembleront et s'affronteront pour acquérir une gloire éternelle. Mais quand les sports équestres se trouvent-ils dans l'allégresse des Jeux ? Quels sont les moments équestres les plus magiques ?
Avec un peu moins de 100 jours seulement avant les Jeux Olympiques, il est temps de se préparer et de s'intéresser à certaines anecdotes du passé. Le jumping fut créé au XVIIIème siècle par une décision du Parlement Britannique qui ferma des espaces ouverts ; les chevaux commencent alors à sauter des haies et des barrières. Le premier concours de saut officiel se déroula en Irlande, en 1900. Il comptait alors trois épreuves : saut en hauteur, saut en longueur, et contre-la-montre. 12 ans plus tard seulement, les concours de saut d'obstacle comptaient plusieurs obstacles à enchaîner : le saut d'obstacle tel que nous le connaissons aujourd'hui était né. En 1912, c'est l'italien Federico Caprilli qui pose les bases des sports équestres modernes, à Stockholm.
Les Jeux Olympiques Equestres ont connu des moments magiques ; en 1948 à Londres, le cheval borgne Riding Arete et son cavalier le mexicain Humberto Mariles deviennent les champions en individuel et par équipe, remportant les toutes premières médailles d'or mexicaines. Quelques années plus tard, en 1960 à Rome, les frères italiens Raimondo et Piero D'Inzeo gagnent respectivement la médaille d'or et la médaille d'argent des Jeux Olympiques, au plus grand plaisir de la foule venue les soutenir.
Plus récemment, aux Jeux de Londres en 2012, le canadien Ian Miller, âgé de 65 ans, devient le cavalier qui a le plus participé aux Jeux Olympiques : il y prend part 10 fois, entre 1972 et 2012. Le cavalier de saut qui détiet le record de médailles reste l'allemand Hans Günter Winkler (7 médailles, dont 5 en or). Demeurée sans médaille depuis les Jeux d'Athènes en 2004, l'Allemagne tentera de surpasser ce record à Rio, grâce à son éuipe composée notamment de Marcus Ehning et Ludger Beerbaum.