En premier lieu, la présence d'une tierce personne est souhaitable, à la fois pour des raisons évidentes de sécurité et pour installer et contrôler les dispositifs d'obstacle (contrats de foulée par exemple). Les obstacles doivent être bien bâtis et sécurisés. Ils doivent être engageants, afin d'encourager le cheval à sauter et non à fuir par un refus ou une dérobade ; ils ne devraient pas être trop hauts afin d'éviter que le cheval ne soit impressionné.
Avant un certain niveau d'entraînement du cheval, les distances entre les obstacles et dans les combinaisons doivent être adaptées à sa foulée. Le jeune cheval devrait commencer par sauter des éléments qui lui sont familiers et lui semblent simples et sécurisants. Pour sauter un nouvel obstacle ou un obstacle plus susceptible d'effrayer son cheval, le cavalier devrait en baisser la hauteur afin de le laisser regarder et sentir le nouvel élément. Quant aux chevaux nerveux, suivre un cheval plus expérimenté peut être bénéfique et les rassurer. Quelle que soit la situation, le cheval doit être mis en confiance, dans une situation rassurante et confortable pour lui, ce qui permet de plus de minimiser les risques de refus.
[caption id="attachment_76801" align="alignnone" width="2048"] Pénélope Leprévost & Vagabond de la Pomme à Göteborg. Copyright : Equnews.no[/caption]Il faut également veiller à l'état du sol : trop dur ou trop mou, ou si le cheval n'est pas dans de bonnes conditions physiques, des entorses ou boiteries peuvent survenir à la suite d'une séance de saut d'obstacles. Les séances longues doivent de même être évitées.
Il n'est nul besoin de « sauter gros » à la maison. Le but du cavalier est de familiariser son cheval aux différents types d'obstacles qu'il sera amené à rencontrer, à travailler son style et sa technique pour que le saut se fasse aussi facilement que possible. Cela se travaille sur de petits obstacles, et même les chevaux les plus avancés dans le travail en ont besoin : ils ne peuvent pas toujours sauter plus d'un mètre, sur 20 obstacles d'affilée.
En premier lieu, la présence d'une tierce personne est souhaitable, à la fois pour des raisons évidentes de sécurité et pour installer et contrôler les dispositifs d'obstacle (contrats de foulée par exemple). Les obstacles doivent être bien bâtis et sécurisés. Ils doivent être engageants, afin d'encourager le cheval à sauter et non à fuir par un refus ou une dérobade ; ils ne devraient pas être trop hauts afin d'éviter que le cheval ne soit impressionné.
Avant un certain niveau d'entraînement du cheval, les distances entre les obstacles et dans les combinaisons doivent être adaptées à sa foulée. Le jeune cheval devrait commencer par sauter des éléments qui lui sont familiers et lui semblent simples et sécurisants. Pour sauter un nouvel obstacle ou un obstacle plus susceptible d'effrayer son cheval, le cavalier devrait en baisser la hauteur afin de le laisser regarder et sentir le nouvel élément. Quant aux chevaux nerveux, suivre un cheval plus expérimenté peut être bénéfique et les rassurer. Quelle que soit la situation, le cheval doit être mis en confiance, dans une situation rassurante et confortable pour lui, ce qui permet de plus de minimiser les risques de refus.
[caption id="attachment_76801" align="alignnone" width="2048"] Pénélope Leprévost & Vagabond de la Pomme à Göteborg. Copyright : Equnews.no[/caption]Il faut également veiller à l'état du sol : trop dur ou trop mou, ou si le cheval n'est pas dans de bonnes conditions physiques, des entorses ou boiteries peuvent survenir à la suite d'une séance de saut d'obstacles. Les séances longues doivent de même être évitées.
Il n'est nul besoin de « sauter gros » à la maison. Le but du cavalier est de familiariser son cheval aux différents types d'obstacles qu'il sera amené à rencontrer, à travailler son style et sa technique pour que le saut se fasse aussi facilement que possible. Cela se travaille sur de petits obstacles, et même les chevaux les plus avancés dans le travail en ont besoin : ils ne peuvent pas toujours sauter plus d'un mètre, sur 20 obstacles d'affilée.