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McLain Ward: un New-Yorkais à New York !

Fantastique victoire du New-Yorkais McLain Ward chez lui pour la première édition du Longines Masters de New York avec Clinta. Un scénario parfait pour ce Longines Grand Prix du continent américain, après l’Europe et l’Asie. Pour triompher dans ce Longines Grand Prix, il fallait tout d’abord passer l’étape d’une première manche délicate. Beaucoup plus difficile que les quatorze sans-faute pouvaient le laisser supposer. Le chef de piste de la saison III des Longines Masters, Louis Konickx, avait disposé douze obstacles dont quinze efforts dans l’arène du NYCB LIVE. Les difficultés étaient partout. L’enchainement des deux combinaisons, le triple en n°10 et le double aux couleurs du Partenaire Titre et Chronométreur Officiel, Longines, douzième et dernière difficulté renforçait encore le challenge. Le tracé nécessitait une concentration de tous les instants. La toute nouvelle gagnante de la Coupe du monde Longines FEI, Beezie Madden, s’est par exemple laissée surprendre par la sortie du triple. Et pourtant, signe de leur extrême motivation, ce sont quatorze cavaliers qui se sont qualifiés pour le barrage de ce premier Longines Grand Prix de New York : cinq Américains, deux Français, deux Israéliens et un cavalier pour le Canada, la Grande-Bretagne, l’Italie, la Suède et les Pays-Bas. Mais le héros du jour avait le profil parfait : McLain Ward vit et possède ses écuries à une heure au nord de New York, à Brewster exactement, où il a grandi et aujourd’hui, il était devant son public. Il semblait aborder ce Longines Grand Prix de New York avec sinon une certaine assurance, du moins une sérénité qu’il doit en grande partie à sa « nouvelle » jument, qui est arrivée d’Allemagne fin février, qu’il monte depuis un mois seulement et avec laquelle McLain avait toutefois déjà eu le temps de gagner une épreuve à 1m50 à Palm Beach ! « Je l’avais repérée à Aix-la-Chapelle l’an dernier, elle était montée par Philip Rüping. Je la voulais tellement, mais j’ai mis sept mois pour la négocier et j’ai pu enfin l’acheter en début d’année grâce à un groupe d’amis. Elle a 11 ans, je la connais peu, mais c’est une jument en qui j’ai pourtant confiance, elle est très rapide et surtout très respectueuse ». Une chose est certaine, c’est que le couple s’est formé rapidement. Ici, à New York, c’était son tout premier Grand Prix à 1m60. La rapidité est donc la caractéristique de ce couple : Erynn Ballard, qui, comme lors du Longines Speed Challenge, s’était installée dans le fauteuil du vainqueur dès le début de l’épreuve, et le Champion d’Europe Peder Fredricson en ont fait les frais : « C’est formidable de gagner à New York. Plus jeune, j’avais gagné un Grand Prix au Madison Square Garden, j’en ai toujours gardé un grand souvenir, c’est une belle sensation de concourir et de gagner dans sa ville ». Cette magie New-Yorkaise a touché tout le monde, perdants et gagnants, Erynn Ballard, par exemple, la Canadienne qui a réalisé l’un des plus beaux week-ends sportif de sa carrière, vainqueur du Longines Speed Challenge et troisième de ce Longines Grand Prix : « New York m’a toujours réussi. J’avais toujours eu de bons résultats au Madison Square Garden également et je me suis toujours un peu sentie chez moi à New York ». Une fascination qui, bien sûr, habite et anime Christophe Ameeuw, le PDG d’EEM et Fondateur de la série Longines Masters : « C’est aujourd’hui la vingt-cinquième édition de nos Masters. Nous avons débuté à Bruxelles, puis nous sommes allés à Paris et à Hong Kong, où nous sommes toujours installés. Puis nous sommes passés par Los Angeles, mais lorsque j’ai créé cette série, je n’avais qu’un seul rêve : je regardais la carte du monde et je me disais que les trois villes où je voulais voir accueillis ces Longines Masters étaient Paris, Hong Kong et New York. Et aujourd’hui ce rêve est atteint. Il faisait partie de mon projet d’offrir le meilleur à ce sport pour qu’il nous offre à son tour le meilleur de lui-même. Le déroulement et le verdict de ce Longines Grand Prix de New York remporté par un New Yorkais est un exemple de ces grands moments que notre sport peut offrir». La première fois également qu’un Américain gagne ce mythique Longines Grand Prix… « We ride the world ». McLain Ward devient désormais le nouveau prétendant au Grand Slam Bonus d’un million d’euros proposé par EEM, pour trois victoires consécutives, à cheval sur deux saisons, dans son cas : New York (Saison III), puis Paris et Hong Kong (Saison IV).
Fantastique victoire du New-Yorkais McLain Ward chez lui pour la première édition du Longines Masters de New York avec Clinta. Un scénario parfait pour ce Longines Grand Prix du continent américain, après l’Europe et l’Asie. Pour triompher dans ce Longines Grand Prix, il fallait tout d’abord passer l’étape d’une première manche délicate. Beaucoup plus difficile que les quatorze sans-faute pouvaient le laisser supposer. Le chef de piste de la saison III des Longines Masters, Louis Konickx, avait disposé douze obstacles dont quinze efforts dans l’arène du NYCB LIVE. Les difficultés étaient partout. L’enchainement des deux combinaisons, le triple en n°10 et le double aux couleurs du Partenaire Titre et Chronométreur Officiel, Longines, douzième et dernière difficulté renforçait encore le challenge. Le tracé nécessitait une concentration de tous les instants. La toute nouvelle gagnante de la Coupe du monde Longines FEI, Beezie Madden, s’est par exemple laissée surprendre par la sortie du triple. Et pourtant, signe de leur extrême motivation, ce sont quatorze cavaliers qui se sont qualifiés pour le barrage de ce premier Longines Grand Prix de New York : cinq Américains, deux Français, deux Israéliens et un cavalier pour le Canada, la Grande-Bretagne, l’Italie, la Suède et les Pays-Bas. Mais le héros du jour avait le profil parfait : McLain Ward vit et possède ses écuries à une heure au nord de New York, à Brewster exactement, où il a grandi et aujourd’hui, il était devant son public. Il semblait aborder ce Longines Grand Prix de New York avec sinon une certaine assurance, du moins une sérénité qu’il doit en grande partie à sa « nouvelle » jument, qui est arrivée d’Allemagne fin février, qu’il monte depuis un mois seulement et avec laquelle McLain avait toutefois déjà eu le temps de gagner une épreuve à 1m50 à Palm Beach ! « Je l’avais repérée à Aix-la-Chapelle l’an dernier, elle était montée par Philip Rüping. Je la voulais tellement, mais j’ai mis sept mois pour la négocier et j’ai pu enfin l’acheter en début d’année grâce à un groupe d’amis. Elle a 11 ans, je la connais peu, mais c’est une jument en qui j’ai pourtant confiance, elle est très rapide et surtout très respectueuse ». Une chose est certaine, c’est que le couple s’est formé rapidement. Ici, à New York, c’était son tout premier Grand Prix à 1m60. La rapidité est donc la caractéristique de ce couple : Erynn Ballard, qui, comme lors du Longines Speed Challenge, s’était installée dans le fauteuil du vainqueur dès le début de l’épreuve, et le Champion d’Europe Peder Fredricson en ont fait les frais : « C’est formidable de gagner à New York. Plus jeune, j’avais gagné un Grand Prix au Madison Square Garden, j’en ai toujours gardé un grand souvenir, c’est une belle sensation de concourir et de gagner dans sa ville ». Cette magie New-Yorkaise a touché tout le monde, perdants et gagnants, Erynn Ballard, par exemple, la Canadienne qui a réalisé l’un des plus beaux week-ends sportif de sa carrière, vainqueur du Longines Speed Challenge et troisième de ce Longines Grand Prix : « New York m’a toujours réussi. J’avais toujours eu de bons résultats au Madison Square Garden également et je me suis toujours un peu sentie chez moi à New York ». Une fascination qui, bien sûr, habite et anime Christophe Ameeuw, le PDG d’EEM et Fondateur de la série Longines Masters : « C’est aujourd’hui la vingt-cinquième édition de nos Masters. Nous avons débuté à Bruxelles, puis nous sommes allés à Paris et à Hong Kong, où nous sommes toujours installés. Puis nous sommes passés par Los Angeles, mais lorsque j’ai créé cette série, je n’avais qu’un seul rêve : je regardais la carte du monde et je me disais que les trois villes où je voulais voir accueillis ces Longines Masters étaient Paris, Hong Kong et New York. Et aujourd’hui ce rêve est atteint. Il faisait partie de mon projet d’offrir le meilleur à ce sport pour qu’il nous offre à son tour le meilleur de lui-même. Le déroulement et le verdict de ce Longines Grand Prix de New York remporté par un New Yorkais est un exemple de ces grands moments que notre sport peut offrir». La première fois également qu’un Américain gagne ce mythique Longines Grand Prix… « We ride the world ». McLain Ward devient désormais le nouveau prétendant au Grand Slam Bonus d’un million d’euros proposé par EEM, pour trois victoires consécutives, à cheval sur deux saisons, dans son cas : New York (Saison III), puis Paris et Hong Kong (Saison IV).
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