La finale FEI Furussiyya Coupe des Nations prenait ses quartiers cet après-midi à Barcelone pour la première manche qui sélectionnait les huit meilleures équipes qui pourront prétendre au titre de vainqueur samedi soir. La France, championne olympique en titre de la discipline et annoncée comme favorite, n'est pourtant pas parvenue à se qualifier. Retour sur cette première manche.
Dix-huit équipes prenaient le départ cet après-midi sur la piste en sable espagnole, sur un parcours dessiné par Santiago Varela. Ce dernier proposait un parcours homogène sans juge de paix mais subtil puisque peu de parcours sans-fautes étaient réalisés. Et pour preuve, la France n'est pas parvenue à sortir un parcours sans aucune pénalité. En effet, Philippe Rozier essuyait un score inhabituel de vingt et un points avec Rahotep de Toscane alors que Kévin Staut (Rêveur de Hurtebise *HDC), Roger-Yves Bost (Sydney Une Prince) et Pénélope Leprévost (Flora de Mariposa) sortaient tous de piste avec une faute au compteur.
La Belgique, victorieuse l'an passé, aura l'occasion de pouvoir défendre son titre samedi soir puisque seulNicola Philippaerts ne sortait pas indemne du parcours avec Bisquet Balou C. L'Allemagne, les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Suisse, l'Irlande et les Pays-Bas étaient les sept autres nations à rejoindre le plat pays. Pourtant à huit points également à l'issue de cette manche, le Brésil, en dépit d'un mauvais chronomètre, s'est vu retiré de la course à la finale et devra se produire comme la France, demain soir lors de la Longines Challenge Cup, tout comme la Suède.
La finale FEI Furussiyya Coupe des Nations prenait ses quartiers cet après-midi à Barcelone pour la première manche qui sélectionnait les huit meilleures équipes qui pourront prétendre au titre de vainqueur samedi soir. La France, championne olympique en titre de la discipline et annoncée comme favorite, n'est pourtant pas parvenue à se qualifier. Retour sur cette première manche.
Dix-huit équipes prenaient le départ cet après-midi sur la piste en sable espagnole, sur un parcours dessiné par Santiago Varela. Ce dernier proposait un parcours homogène sans juge de paix mais subtil puisque peu de parcours sans-fautes étaient réalisés. Et pour preuve, la France n'est pas parvenue à sortir un parcours sans aucune pénalité. En effet, Philippe Rozier essuyait un score inhabituel de vingt et un points avec Rahotep de Toscane alors que Kévin Staut (Rêveur de Hurtebise *HDC), Roger-Yves Bost (Sydney Une Prince) et Pénélope Leprévost (Flora de Mariposa) sortaient tous de piste avec une faute au compteur.
La Belgique, victorieuse l'an passé, aura l'occasion de pouvoir défendre son titre samedi soir puisque seulNicola Philippaerts ne sortait pas indemne du parcours avec Bisquet Balou C. L'Allemagne, les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'Italie, la Suisse, l'Irlande et les Pays-Bas étaient les sept autres nations à rejoindre le plat pays. Pourtant à huit points également à l'issue de cette manche, le Brésil, en dépit d'un mauvais chronomètre, s'est vu retiré de la course à la finale et devra se produire comme la France, demain soir lors de la Longines Challenge Cup, tout comme la Suède.