Jeune, talentueux, décontracté et souriant, voilà les adjectifs qui peuvent décrire Constant van Paesschen. Fils du grand Stanny van Paesschen, ce cavalier suit les traces de son père en devenant un atout important de l'équipe Belge. C'est à Doha en Novembre dernier que Constant a fait son entrée dans la cour des grands en terminant cinquième du Grand Prix, derrière des pointures telles que Scott Brash ou Marcus Ehning. A Chantilly, Equnews est partie à la rencontre du belge :
Quels sont vos objectifs principaux cette saison ?
Je veux que mes chevaux restent sains, qu’ils sautent bien et que la saison se termine comme elle a commencé. Concernant les Jeux Equestres Mondiaux, je ne les ai pas vraiment en tête. J’espère y aller mais on verra bien, ce n’est pas réellement un objectif. Ce serait bien si j’y vais mais je ne me concentre pas que sur cet évènement.
Nous avons appris à Aix que Toscan n’allait pas très bien, peut-on avoir des nouvelles ?
Toscan s’était blessé à Aix au box, mais ce n’était rien de grave. Il est rentré à la maison et maintenant tout va bien.
Qu’est ce que cela représente d’être aussi jeune à ce niveau, avez vous une reconnaissance des meilleurs cavaliers ou l’impression d’avoir plus à prouver que les autres ?
Les cavaliers sont tous sympas, on s’entend bien et on rigole bien ensemble. Il n’y en a pas vraiment un qui est pas aimable avec les autres donc ça c’est bien. Et ils sont très sympas avec les jeunes. Personnellement j’ai toujours voulu gagner et donc d’après moi je n’ai pas plus à prouver qu’un autre.
Comment envisagez vous votre avenir, pensez vous rester dans la structure de votre père ou devenir plus indépendant ?
Cela dépend de comment la vie va se passer, mais en ce moment je suis bien à la maison. Peut être qu’un jour je partirai comme mon père l’a fait quand il était plus jeune. Ce sera en fonction de la manière dont se déroulera l’avenir.
Pouvez vous nous parler du travail que vous faites avec votre père, comment les choses se passent-elles ?
C’est facile, on se connait bien, on pense tous les deux la même chose donc de ce côté là ça se passe bien. C’est sympa de travailler ensemble, il est un peu comme moi, assez décontracté.
Avez-vous un avis sur la finale tournante des JEM, puisque nous entendons beaucoup de polémique à ce sujet ?
C’est compliqué de mettre des mots sur ce sujet parce que cela peut bien se dérouler ou cela peut ne pas aller du tout. C’est sympa à voir mais je ne suis pas sûr que c’est comme cela qu’on choisit un champion du monde. Mais c’est ainsi et on ne va pas le changer, et puis au moins on voit qui sait monter plusieurs chevaux différents.
Retrouvez la suite de l'interview ici.
Photos : copyright : equnews.frA.T
Jeune, talentueux, décontracté et souriant, voilà les adjectifs qui peuvent décrire Constant van Paesschen. Fils du grand Stanny van Paesschen, ce cavalier suit les traces de son père en devenant un atout important de l'équipe Belge. C'est à Doha en Novembre dernier que Constant a fait son entrée dans la cour des grands en terminant cinquième du Grand Prix, derrière des pointures telles que Scott Brash ou Marcus Ehning. A Chantilly, Equnews est partie à la rencontre du belge :
Quels sont vos objectifs principaux cette saison ?
Je veux que mes chevaux restent sains, qu’ils sautent bien et que la saison se termine comme elle a commencé. Concernant les Jeux Equestres Mondiaux, je ne les ai pas vraiment en tête. J’espère y aller mais on verra bien, ce n’est pas réellement un objectif. Ce serait bien si j’y vais mais je ne me concentre pas que sur cet évènement.
Nous avons appris à Aix que Toscan n’allait pas très bien, peut-on avoir des nouvelles ?
Toscan s’était blessé à Aix au box, mais ce n’était rien de grave. Il est rentré à la maison et maintenant tout va bien.
Qu’est ce que cela représente d’être aussi jeune à ce niveau, avez vous une reconnaissance des meilleurs cavaliers ou l’impression d’avoir plus à prouver que les autres ?
Les cavaliers sont tous sympas, on s’entend bien et on rigole bien ensemble. Il n’y en a pas vraiment un qui est pas aimable avec les autres donc ça c’est bien. Et ils sont très sympas avec les jeunes. Personnellement j’ai toujours voulu gagner et donc d’après moi je n’ai pas plus à prouver qu’un autre.
Comment envisagez vous votre avenir, pensez vous rester dans la structure de votre père ou devenir plus indépendant ?
Cela dépend de comment la vie va se passer, mais en ce moment je suis bien à la maison. Peut être qu’un jour je partirai comme mon père l’a fait quand il était plus jeune. Ce sera en fonction de la manière dont se déroulera l’avenir.
Pouvez vous nous parler du travail que vous faites avec votre père, comment les choses se passent-elles ?
C’est facile, on se connait bien, on pense tous les deux la même chose donc de ce côté là ça se passe bien. C’est sympa de travailler ensemble, il est un peu comme moi, assez décontracté.
Avez-vous un avis sur la finale tournante des JEM, puisque nous entendons beaucoup de polémique à ce sujet ?
C’est compliqué de mettre des mots sur ce sujet parce que cela peut bien se dérouler ou cela peut ne pas aller du tout. C’est sympa à voir mais je ne suis pas sûr que c’est comme cela qu’on choisit un champion du monde. Mais c’est ainsi et on ne va pas le changer, et puis au moins on voit qui sait monter plusieurs chevaux différents.
Retrouvez la suite de l'interview ici.
Photos : copyright : equnews.frA.T