À Tokyo, elle a de nouveau remporté quelques médailles. "Je ne suis plus aussi crédule qu'avant", dit-elle. Et avec cela, Michèle George donne immédiatement le ton !
Qu'est-ce qui vous rend encore nerveux, malgré toute votre expérience ?
Des gens incompétents mais arrogants. Les gens qui prétendent être plus intelligents qu'ils ne le sont me rendent vraiment nerveux.
Que faites-vous lorsque vous avez besoin de cinq minutes d'échapper le stress quotidien ?
Quand j'ai besoin de souffler, je me tourne toujours vers mon cheval. Lorsque je suis avec des animaux, je peux me détendre complètement et me détacher de tout ce qui m'entoure. J'aime être dehors et dans la nature. Même quand il fait froid ou qu'il pleut. Le mauvais temps n'existe pas, seulement les mauvais vêtements.
Quel est votre plus grand obstacle en ce moment ?
Mes jours sont trop courts. J'aurais besoin de quelques heures supplémentaires par jour pour travailler et pour passer plus de temps de qualité avec mon partenaire et mes enfants. Je travaille en tant que People expert au sein de la société de consultance Solid Talent et j'aime beaucoup mon travail. J'essaie également d'apprendre à mes enfants à trouver un travail qui les passionne.
Quel livre se trouve actuellement sur votre table de chevet ?
Un annuaire téléphonique, parce que je dois encore rappeler beaucoup de gens (rigole). Je n'ai pas assez de temps pour lire ou regarder des séries. Le soir, au lit, après quelques bavardages, je m'endors généralement très vite. Je ne suis pas un grand lecteur. Le temps libre que j'ai, je préfère le passer avec mes enfants et mon partenaire.
Qu'est-ce que vous avez cru être vrai pendant longtemps, mais que vous ne croyez plus maintenant ?
Je dis souvent : "Je ne crois plus à Saint-Nicolas. Dans notre dialecte, cela signifie que je ne suis pas aussi crédule que je l'étais. J'avais l'habitude de croire que tout le monde avait toujours mes intérêts à cœur. J'ai perdu la naïveté de la jeunesse. Nous vivons dans un monde très compétitif et parfois des requins viennent se jeter sur vous. Vous devez être capable de vous défendre contre ça.
source : de Tijd
Qu'est-ce qui vous rend encore nerveux, malgré toute votre expérience ?
Des gens incompétents mais arrogants. Les gens qui prétendent être plus intelligents qu'ils ne le sont me rendent vraiment nerveux.
Que faites-vous lorsque vous avez besoin de cinq minutes d'échapper le stress quotidien ?
Quand j'ai besoin de souffler, je me tourne toujours vers mon cheval. Lorsque je suis avec des animaux, je peux me détendre complètement et me détacher de tout ce qui m'entoure. J'aime être dehors et dans la nature. Même quand il fait froid ou qu'il pleut. Le mauvais temps n'existe pas, seulement les mauvais vêtements.
Quel est votre plus grand obstacle en ce moment ?
Mes jours sont trop courts. J'aurais besoin de quelques heures supplémentaires par jour pour travailler et pour passer plus de temps de qualité avec mon partenaire et mes enfants. Je travaille en tant que People expert au sein de la société de consultance Solid Talent et j'aime beaucoup mon travail. J'essaie également d'apprendre à mes enfants à trouver un travail qui les passionne.
Quel livre se trouve actuellement sur votre table de chevet ?
Un annuaire téléphonique, parce que je dois encore rappeler beaucoup de gens (rigole). Je n'ai pas assez de temps pour lire ou regarder des séries. Le soir, au lit, après quelques bavardages, je m'endors généralement très vite. Je ne suis pas un grand lecteur. Le temps libre que j'ai, je préfère le passer avec mes enfants et mon partenaire.
Qu'est-ce que vous avez cru être vrai pendant longtemps, mais que vous ne croyez plus maintenant ?
Je dis souvent : "Je ne crois plus à Saint-Nicolas. Dans notre dialecte, cela signifie que je ne suis pas aussi crédule que je l'étais. J'avais l'habitude de croire que tout le monde avait toujours mes intérêts à cœur. J'ai perdu la naïveté de la jeunesse. Nous vivons dans un monde très compétitif et parfois des requins viennent se jeter sur vous. Vous devez être capable de vous défendre contre ça.
source : de Tijd