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François Mathy : "Je profite surtout des petites choses de la vie maintenant".

François Mathy est coincé à la maison comme nous. "Je peux passer plus de temps avec ma famille maintenant, et j'en profite".

"Normalement, je suis au travail sept jours par semaine et sur la route. Maintenant, j'ai le temps de lire et de réfléchir", dit Mathy. "Je travaille dans le jardin, je regarde la nature s'épanouir... Je suis particulièrement privilégiée de vivre à la campagne. J'aime aussi observer les jeunes chevaux et voir comment ils évoluent. L'impact du virus est, bien sûr, énorme. Il n'y a plus de compétitions, plus de visiteurs, nous avons plus de chevaux dans les écuries pour le moment car ils ne peuvent pas aller aux compétitions. Mais il est important de réaliser que nous n'avons fait que ralentir, et non pas arrêter. Je suis inquiet car personne ne sait quand cela va se terminer et je suis également convaincu que nous allons supporter les conséquences de cette crise pendant longtemps". 

"Je remarque que le commerce s'est un peu arrêté. Cela est logique puisqu'il n'y a pas de concours pour montrer les chevaux, seuls les " déplacements nécessaires " sont autorisés,.... De cette façon, vous ne pouvez pas faire de commerce. Il est difficile de prévoir l'impact du virus sur notre sport. Seul l'avenir nous le dira. Notre commerce est principalement destiné aux pays étrangers et cela le rend bien sûr encore plus difficile".

"Qu'est-ce qui me manque le plus ? Une perspective d'avenir. Je veux dire par là que personne ne sait combien de temps cette situation va durer et, par conséquent, personne n'a vraiment d'objectif à atteindre. Je ne pense pas que beaucoup de choses aient changé pour les chevaux eux-mêmes. Ils continuent à travailler tous les jours et sortent régulièrement de leurs étals... Je pense même que certains d'entre eux sont plus heureux en ce moment". 


Source et photo : EcurieMathy



"Normalement, je suis au travail sept jours par semaine et sur la route. Maintenant, j'ai le temps de lire et de réfléchir", dit Mathy. "Je travaille dans le jardin, je regarde la nature s'épanouir... Je suis particulièrement privilégiée de vivre à la campagne. J'aime aussi observer les jeunes chevaux et voir comment ils évoluent. L'impact du virus est, bien sûr, énorme. Il n'y a plus de compétitions, plus de visiteurs, nous avons plus de chevaux dans les écuries pour le moment car ils ne peuvent pas aller aux compétitions. Mais il est important de réaliser que nous n'avons fait que ralentir, et non pas arrêter. Je suis inquiet car personne ne sait quand cela va se terminer et je suis également convaincu que nous allons supporter les conséquences de cette crise pendant longtemps". 

"Je remarque que le commerce s'est un peu arrêté. Cela est logique puisqu'il n'y a pas de concours pour montrer les chevaux, seuls les " déplacements nécessaires " sont autorisés,.... De cette façon, vous ne pouvez pas faire de commerce. Il est difficile de prévoir l'impact du virus sur notre sport. Seul l'avenir nous le dira. Notre commerce est principalement destiné aux pays étrangers et cela le rend bien sûr encore plus difficile".

"Qu'est-ce qui me manque le plus ? Une perspective d'avenir. Je veux dire par là que personne ne sait combien de temps cette situation va durer et, par conséquent, personne n'a vraiment d'objectif à atteindre. Je ne pense pas que beaucoup de choses aient changé pour les chevaux eux-mêmes. Ils continuent à travailler tous les jours et sortent régulièrement de leurs étals... Je pense même que certains d'entre eux sont plus heureux en ce moment". 


Source et photo : EcurieMathy



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