Quel luxe, quel luxe ! Deux semaines après la médaille d’or européenne à Rotterdam, une équipe belge complètement différente a également remporté la prestigieuse Coupe des Nations à Spruce Meadows, à Calgary, au Canada. Avec une différence de dix points, François Mathy Jr (Uno de la Roque), Yves Vanderhasselt (Jeunesse), Pieter Clemens (Quintini) et Olivier Phillipaerts (H&M Extra) l’ont rendu unique : jamais auparavant en 44 ans une équipe belge n’avait gagné cette Coupe des Nations.
“Bien sûr, nous avons fait une petite fête après “, dit Olivier Philippaerts. “C’est une réalisation unique, et avec quatre autres cavaliers et chevaux qu’il y a deux semaines à Rotterdam. Cela prouve que la Belgique compte un grand nombre de cavaliers et de chevaux de haut niveau. Ce sera un parcours intéressant en vue des Jeux Olympiques de l’année prochaine. Chacun devra donner le meilleur de lui-même à maintes reprises pour se prouver à l’entraîneur national.”
L’entraîneur national, Peter Weinberg, galope d’une fête à l’autre. C’est aussi un problème de luxe pour lui. “Alors que certains pays ont du mal à composer une équipe complète, nous pouvons en faire deux ou trois. Bien sûr, c’est bien beau pour un entraîneur national, mais ce ne sera pas facile pour moi en vue des Jeux Olympiques où seulement trois cavaliers seront autorisés à participer. Mais il peut se passer beaucoup de choses en un an. Nous n’allons pas encore regarder trop loin. Je préfère que ça se passe comme ça plutôt que d’avoir à peine le choix.”
Source:Equibel
“Bien sûr, nous avons fait une petite fête après “, dit Olivier Philippaerts. “C’est une réalisation unique, et avec quatre autres cavaliers et chevaux qu’il y a deux semaines à Rotterdam. Cela prouve que la Belgique compte un grand nombre de cavaliers et de chevaux de haut niveau. Ce sera un parcours intéressant en vue des Jeux Olympiques de l’année prochaine. Chacun devra donner le meilleur de lui-même à maintes reprises pour se prouver à l’entraîneur national.”
L’entraîneur national, Peter Weinberg, galope d’une fête à l’autre. C’est aussi un problème de luxe pour lui. “Alors que certains pays ont du mal à composer une équipe complète, nous pouvons en faire deux ou trois. Bien sûr, c’est bien beau pour un entraîneur national, mais ce ne sera pas facile pour moi en vue des Jeux Olympiques où seulement trois cavaliers seront autorisés à participer. Mais il peut se passer beaucoup de choses en un an. Nous n’allons pas encore regarder trop loin. Je préfère que ça se passe comme ça plutôt que d’avoir à peine le choix.”
Source:Equibel