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Corona affecte également les propriétaires. Les cavaliers doivent-ils soutenir les propriétaires pour assurer leur propre succès sportif ?

Entre-temps, on sait que les centres équestres, les pensionnats avec restauration et les cavaliers indépendants (professionnels) ont peut-être droit à une prime corona. Mais qu'en est-il des propriétaires ? Parce que de nombreux propriétaires sont également concernés, mais les coûts mensuels continuent, sans aucun concours. "Les chevaux sont souvent mis en écurie chez des cavaliers en vue de leur vente. Les chevaux sont alors entretenus, la valeur ajoutée n'est pas créée..." dit-on ?

Un grand paradoxe émerge. Les incertitudes futures sont décisives. Quand y aura-t-il de nouveaux concours ? Car tant que les chevaux restent dans l'écurie, la facture mensuelle des propriétaires reste tout aussi élevée. "Les coûts du concours vont bien sûr baisser, mais quelque part nous sommes inquiets", dit un propriétaire anonyme aux rédacteurs.

La question se pose donc de savoir si les cavaliers professionnels doivent faire une concession aux propriétaires. Parce que la crise corona affecte tout le monde.

"Beaucoup de propriétaires doivent aussi se contenter de revenus moins élevés pour le moment. Nous comprenons que les cavaliers ont des coûts fixes et que le travail doit être payé, mais si cette situation perdure pendant longtemps, la valeur ajoutée de notre cheval sera minime, voir même négative. C'est une situation qui ne favorisera certainement pas le sport et le commerce".

Une solution ?

"La solution est difficile à déterminer en général", dit le propriétaire. "Quelque part, ce serait correct que les cavaliers examinent les coûts réels avec le propriétaire et fassent une concession temporaire. De cette façon, le partenariat entre le propriétaire et le cavalier sera garanti à long terme".

Les avantages et les inconvénients peuvent en effet être examinés au cas par cas. Mais une vision à long terme est nécessaire. Plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Pour le cavalier comme pour le propriétaire, l'enjeu est plus important que cette période de crise (à court terme). Les objectifs sportifs, les objectifs économiques, etc. doivent être pris en compte.

Il faut y réfléchir......


Un grand paradoxe émerge. Les incertitudes futures sont décisives. Quand y aura-t-il de nouveaux concours ? Car tant que les chevaux restent dans l'écurie, la facture mensuelle des propriétaires reste tout aussi élevée. "Les coûts du concours vont bien sûr baisser, mais quelque part nous sommes inquiets", dit un propriétaire anonyme aux rédacteurs.

La question se pose donc de savoir si les cavaliers professionnels doivent faire une concession aux propriétaires. Parce que la crise corona affecte tout le monde.

"Beaucoup de propriétaires doivent aussi se contenter de revenus moins élevés pour le moment. Nous comprenons que les cavaliers ont des coûts fixes et que le travail doit être payé, mais si cette situation perdure pendant longtemps, la valeur ajoutée de notre cheval sera minime, voir même négative. C'est une situation qui ne favorisera certainement pas le sport et le commerce".

Une solution ?

"La solution est difficile à déterminer en général", dit le propriétaire. "Quelque part, ce serait correct que les cavaliers examinent les coûts réels avec le propriétaire et fassent une concession temporaire. De cette façon, le partenariat entre le propriétaire et le cavalier sera garanti à long terme".

Les avantages et les inconvénients peuvent en effet être examinés au cas par cas. Mais une vision à long terme est nécessaire. Plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Pour le cavalier comme pour le propriétaire, l'enjeu est plus important que cette période de crise (à court terme). Les objectifs sportifs, les objectifs économiques, etc. doivent être pris en compte.

Il faut y réfléchir......


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