Skip to content

Copyright

Fabienne Daigneux-Lange sera la nouvelle responsable pour les sélections Jumping Senior 2 et 3*

La FRBSE est ravie de pouvoir présenter son nouveau responsable de la sélection pour les seniors de saut d’obstacles de niveau 3 et 4*. Et elle n’est pas une inconnue, mais elle a elle-même pris part en tant qu’athlète de niveau international à de nombreux CSIO et concours 5*.

Fabienne Daigneux-Lange travaillera en étroite collaboration avec l’entraîneur national Peter Weinberg et la cellule de sport de haut niveau de la FRBSE et sera responsable, entre autres, des sélections des CSIO en deuxième division.  Elle aura également la charge de détecter des combinaisons de haut niveau qui pourraient éventuellement passer au niveau 5*.

La hutoise reprendra la place de Philippe Le Jeune, à qui des nouveaux horizons se sont ouverts.  Fabienne a obtenu ses meilleurs résultats internationaux avec sa jument Venue D’fee Hazalles, qu’elle a ensuite vendue à Eve Jobs. Fabienne est un membre régulier de l’équipe belge depuis 2008.

“Après que Philippe Le Jeune nous ait annoncé que notre collaboration prendrait fin, nous nous sommes retrouvés assez rapidement avec Fabienne Daigneux-Lange”, explique Wendy Laeremans. “Après une conversation avec la cellule des sports de haut niveau de la FRBSE, il est apparu clairement qu’elle avait la bonne vision et les bonnes connaissances. La plupart des athlètes et de l’encadrement connaissent Fabienne, ce qui facilitera les contacts”.

Touche à tout

Fabienne Daigneux-Lange est née le 24/07/1963 et elle est, comme nous l’avons déjà mentionné, une athlète internationale de saut d’obstacles.  Elle a commencé à monter à cheval à un très jeune âge, mais elle a aussi arrêté à monter à plusieurs reprises pour diverses raisons telles ses études.

Grâce à son frère, Fabienne, à l’âge de 26 ans, a suivi les études vétérinaires d’où elle est diplômée en 1995. Aujourd’hui, Fabienne utilise ses connaissances pour une bonne utilisation et entrainement de ses chevaux.

Fabienne est un membre régulier de l’équipe belge depuis 2008.

Auparavant, Fabienne a également été chef d’équipe de l’équipe belge de saut d’obstacles à la Coupe des Nations de Bratislava, en Slovaquie, en 2015, où elle a également participé en tant que cavalière, ainsi qu’à Rabat où elle s’est chargée de former l’équipe vainqueur en 2016.

“J’ai tellement hâte”

Lorsque nous appelons Fabienne et la félicitons pour son nouveau travail, nous entendons une dame très enthousiaste au téléphone. Je sens que je vais adorer ce défi, c’est vraiment quelque chose que j’ai envie de faire, d’ailleurs, j’ai toujours dit que je voulais être chef d’équipe “dans mes vieux jours” (rires).

Je suis donc ravie d’avoir la confiance de la Fédération et de Peter Weinberg. Si je n’avais pas été convaincue de leur soutien, je n’aurais pas accepté cette offre”.

Lorsqu’on lui demande si elle veut toujours monter, elle est très confiante : “Oui, mais si nous avons la possibilité de participer à un maximum de concours CSIO avec l’équipe belge, je la saisirai à deux mains. Monter moi-même viendra alors en deuxième position pour moi.

Je sais mieux que quiconque à quel point il est stressant de participer à une coupe des nations. Ainsi, plus mes cavaliers pourront acquérir d’expérience, plus cela sera à notre avantage”.

Fabienne sait qu’elle mettra l’accent sur la création d’un bon esprit d’équipe au sein du groupe. “Je me souviens que je me suis retrouvée dans le circuit de la Coupe des Nations par accident, ou plutôt avec un peu de chance. Lors d’un concours à Hasselt, je m’étais assise avec Dirk Demeersman, lorsqu’il a reçu un appel téléphonique d’un cavalier qui avait annulé à la dernière minute sa participation au concours de Gijón. Moi, j’avais obtenu les résultats nécessaires et j’ai donc eu la chance d’être reprise dans l’équipe (sans le poids de la Coupe des Nations). Patrik Spits a organisé le transport de mes chevaux qui partaient le lendemain, quelqu’un d’autre s’est occupé d’un palefrenier,… A La Baule, je me souviens que j’ai fait la reconnaissance de la piste 5 fois.  Une fois avec le chef d’équipe, puis une fois avec chaque autre cavalier de l’équipe belge, qui voulaient m’aider autant que possible. Là, j’ai senti qu’il y avait une atmosphère optimale entre les cavaliers de l’équipe, je n’aurais pas pu le faire sans eux. Je veux continuer à ressentir cet esprit d’équipe, également avec les équipes que j’accompagnerai”.

La collaboration entre la FRBSE et Fabienne débutera officiellement lorsque nous serons sortis de la crise du coronavirus, mais cela ne signifie pas que Fabienne ne travaillera pas entre-temps. Dans les coulisses, elle est déjà en contact avec les cavaliers qu’elle prendra sous ses ailes.

Fabienne Daigneux-Lange travaillera en étroite collaboration avec l’entraîneur national Peter Weinberg et la cellule de sport de haut niveau de la FRBSE et sera responsable, entre autres, des sélections des CSIO en deuxième division.  Elle aura également la charge de détecter des combinaisons de haut niveau qui pourraient éventuellement passer au niveau 5*.

La hutoise reprendra la place de Philippe Le Jeune, à qui des nouveaux horizons se sont ouverts.  Fabienne a obtenu ses meilleurs résultats internationaux avec sa jument Venue D’fee Hazalles, qu’elle a ensuite vendue à Eve Jobs. Fabienne est un membre régulier de l’équipe belge depuis 2008.

“Après que Philippe Le Jeune nous ait annoncé que notre collaboration prendrait fin, nous nous sommes retrouvés assez rapidement avec Fabienne Daigneux-Lange”, explique Wendy Laeremans. “Après une conversation avec la cellule des sports de haut niveau de la FRBSE, il est apparu clairement qu’elle avait la bonne vision et les bonnes connaissances. La plupart des athlètes et de l’encadrement connaissent Fabienne, ce qui facilitera les contacts”.

Touche à tout

Fabienne Daigneux-Lange est née le 24/07/1963 et elle est, comme nous l’avons déjà mentionné, une athlète internationale de saut d’obstacles.  Elle a commencé à monter à cheval à un très jeune âge, mais elle a aussi arrêté à monter à plusieurs reprises pour diverses raisons telles ses études.

Grâce à son frère, Fabienne, à l’âge de 26 ans, a suivi les études vétérinaires d’où elle est diplômée en 1995. Aujourd’hui, Fabienne utilise ses connaissances pour une bonne utilisation et entrainement de ses chevaux.

Fabienne est un membre régulier de l’équipe belge depuis 2008.

Auparavant, Fabienne a également été chef d’équipe de l’équipe belge de saut d’obstacles à la Coupe des Nations de Bratislava, en Slovaquie, en 2015, où elle a également participé en tant que cavalière, ainsi qu’à Rabat où elle s’est chargée de former l’équipe vainqueur en 2016.

“J’ai tellement hâte”

Lorsque nous appelons Fabienne et la félicitons pour son nouveau travail, nous entendons une dame très enthousiaste au téléphone. Je sens que je vais adorer ce défi, c’est vraiment quelque chose que j’ai envie de faire, d’ailleurs, j’ai toujours dit que je voulais être chef d’équipe “dans mes vieux jours” (rires).

Je suis donc ravie d’avoir la confiance de la Fédération et de Peter Weinberg. Si je n’avais pas été convaincue de leur soutien, je n’aurais pas accepté cette offre”.

Lorsqu’on lui demande si elle veut toujours monter, elle est très confiante : “Oui, mais si nous avons la possibilité de participer à un maximum de concours CSIO avec l’équipe belge, je la saisirai à deux mains. Monter moi-même viendra alors en deuxième position pour moi.

Je sais mieux que quiconque à quel point il est stressant de participer à une coupe des nations. Ainsi, plus mes cavaliers pourront acquérir d’expérience, plus cela sera à notre avantage”.

Fabienne sait qu’elle mettra l’accent sur la création d’un bon esprit d’équipe au sein du groupe. “Je me souviens que je me suis retrouvée dans le circuit de la Coupe des Nations par accident, ou plutôt avec un peu de chance. Lors d’un concours à Hasselt, je m’étais assise avec Dirk Demeersman, lorsqu’il a reçu un appel téléphonique d’un cavalier qui avait annulé à la dernière minute sa participation au concours de Gijón. Moi, j’avais obtenu les résultats nécessaires et j’ai donc eu la chance d’être reprise dans l’équipe (sans le poids de la Coupe des Nations). Patrik Spits a organisé le transport de mes chevaux qui partaient le lendemain, quelqu’un d’autre s’est occupé d’un palefrenier,… A La Baule, je me souviens que j’ai fait la reconnaissance de la piste 5 fois.  Une fois avec le chef d’équipe, puis une fois avec chaque autre cavalier de l’équipe belge, qui voulaient m’aider autant que possible. Là, j’ai senti qu’il y avait une atmosphère optimale entre les cavaliers de l’équipe, je n’aurais pas pu le faire sans eux. Je veux continuer à ressentir cet esprit d’équipe, également avec les équipes que j’accompagnerai”.

La collaboration entre la FRBSE et Fabienne débutera officiellement lorsque nous serons sortis de la crise du coronavirus, mais cela ne signifie pas que Fabienne ne travaillera pas entre-temps. Dans les coulisses, elle est déjà en contact avec les cavaliers qu’elle prendra sous ses ailes.

Précédent Steve Guerdat : "Un film sur ma vie serait plus un drame qu'une comédie." Suivant "Cheppetta Syndicate" : une nouvelle chance d'investir dans un champion