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Deux rares chevaux sorraia vivent maintenant dans le "Parkbos".

Le Parkbos a deux nouveaux résidents, mais pas n'importe lesquels.Christophe Colomb les a emmenés en Amérique.

Leurs gènes sont dans la légendaire mustang. Et récemment, ils ont commencé à paître dans le "Parkbos" : deux rares chevaux sorraia.

Il s'agit d'une jument de 4 ans nommée Hadalinda et d'un étalon de 3 ans nommé Turon. La race sorraia n'est pas n'importe quelle race.

Dans le monde, il ne reste que deux cents exemplaires de cette race de cheval ibérique, découverte vers 1930 et reconnaissable à sa couleur brun clair et à la bande sur son dos.

Les chevaux font partie d'un programme d'élevage spécial. Le Parkbos espère utiliser les chevaux pour influencer positivement la végétation. Les chevaux ne peuvent pas encore être visités, Parkbos les garde à distance du public pour le moment car l'étalon a l'instinct de reproduction très fort et oserait attaquer. Entre-temps, elle est enceinte et nous avons temporairement mis Turon à part", explique M. Dumoulin, propriétaire des chevaux.

Les sorraies vivent normalement en groupe et il y a donc moins de fixation sur une seule jument. Nous avons déjà une jument supplémentaire, de race berbère, mais cela ne suffit pas.

Des promenades pourront éventuellement être organisées lorsque les chevaux seront habitués à l'environnement et que leur comportement pourra être mieux prédit. 


Source : De Standaard

Il s'agit d'une jument de 4 ans nommée Hadalinda et d'un étalon de 3 ans nommé Turon. La race sorraia n'est pas n'importe quelle race.

Dans le monde, il ne reste que deux cents exemplaires de cette race de cheval ibérique, découverte vers 1930 et reconnaissable à sa couleur brun clair et à la bande sur son dos.

Les chevaux font partie d'un programme d'élevage spécial. Le Parkbos espère utiliser les chevaux pour influencer positivement la végétation. Les chevaux ne peuvent pas encore être visités, Parkbos les garde à distance du public pour le moment car l'étalon a l'instinct de reproduction très fort et oserait attaquer. Entre-temps, elle est enceinte et nous avons temporairement mis Turon à part", explique M. Dumoulin, propriétaire des chevaux.

Les sorraies vivent normalement en groupe et il y a donc moins de fixation sur une seule jument. Nous avons déjà une jument supplémentaire, de race berbère, mais cela ne suffit pas.

Des promenades pourront éventuellement être organisées lorsque les chevaux seront habitués à l'environnement et que leur comportement pourra être mieux prédit. 


Source : De Standaard

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