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Cavaliers, grooms, vétérinaires et sélectionneurs se réunissent pour le bien-être du cheval au LGCT-LPEJ

En cette veille d’ouverture des épreuves du Longines Paris Eiffel Jumping, les laboratoires Audevard se sont associés à l’événement pour proposer une conférence autour du bien-être du cheval pour la deuxième année consécutive.

Différents thèmes ont été abordés lors de cette table ronde. Dans un premier temps, les intervenants se sont exprimés sur la façon d’assurer le bien-être du cheval lors des compétitions. L’ensemble des conférenciers a trouvé un consensus autour du fait que c’était par la préparation physique et mentale du cheval pour l’échéance que passait ce ‘welfare’. Pour Pierre Durand, champion olympique de saut d’obstacles en 1988 à Séoul, comme Thierry Pommel, sélectionneur de l’équipe de France de saut d’obstacles, il est important pour les cavaliers de se fixer un ou deux objectifs majeurs par saison, et préparer au mieux leurs chevaux pour qu’ils atteignent ces échéances au meilleur de leur forme. Pour le Dr. Xavier Goupil, cela passe avant tout par l’observation du cheval, lors de sa préparation, mais aussi pendant la compétition. Il souligne également le fait qu’il est essentiel d’adapter la préparation et la récupération du cheval à la discipline que l’on pratique.

Les cavaliers ajoutaient également qu’un cheval de sport doit prendre du plaisir à pratiquer sa discipline, sans quoi il ne peut pas être performant. Pour Gwendolen Fer, cavalière internationale de concours complet, « on demande des choses qui ne sont pas naturelles à nos chevaux, s’ils n’y prenaient pas de plaisir, ils ne le feraient pas ! », et Thierry Pommel acquiesçait : « Les meilleurs chevaux que j’ai pu monter, ceux sont ceux qui se faisaient plaisir en piste, et qui, en plus, avaient envie de me faire plaisir. » Mais la relation entre le cheval et son cavalier en est une à double sens. Comme le soulignait Philippe Rozier, « la réussite d’un cavalier, c’est la complicité et les soins qu’il apporte à son cheval ». Et dans cette relation, les intervenants ont insisté sur deux mots : confiance et bienveillance. Il s’est dégagé de la conversation que les cavaliers ont une responsabilité envers le cheval, que ce soit au niveau de la technique en piste ou des conditions de vie de celui-ci.
 
Et si le bien-être et la préparation physique du cheval ont été au cœur de l’attention pendant près de deux heures de conférence, la préparation mentale du cavalier a également été abordée, notamment par Maxime Chataigner, expert préparateur mental de la FFE. Souvent, précisait-il, « les cavaliers professionnels, en plus d’être sportifs de haut niveau, sont des entrepreneurs de la filière équestre. Ils ont la pression de la performance sportive, mais doivent également gérer celle de la gestion de leur entreprise, en plus de la bonne forme de leur piquet de chevaux. »

Source:Equnews/Communique de presse R&B presse


Différents thèmes ont été abordés lors de cette table ronde. Dans un premier temps, les intervenants se sont exprimés sur la façon d’assurer le bien-être du cheval lors des compétitions. L’ensemble des conférenciers a trouvé un consensus autour du fait que c’était par la préparation physique et mentale du cheval pour l’échéance que passait ce ‘welfare’. Pour Pierre Durand, champion olympique de saut d’obstacles en 1988 à Séoul, comme Thierry Pommel, sélectionneur de l’équipe de France de saut d’obstacles, il est important pour les cavaliers de se fixer un ou deux objectifs majeurs par saison, et préparer au mieux leurs chevaux pour qu’ils atteignent ces échéances au meilleur de leur forme. Pour le Dr. Xavier Goupil, cela passe avant tout par l’observation du cheval, lors de sa préparation, mais aussi pendant la compétition. Il souligne également le fait qu’il est essentiel d’adapter la préparation et la récupération du cheval à la discipline que l’on pratique.

Les cavaliers ajoutaient également qu’un cheval de sport doit prendre du plaisir à pratiquer sa discipline, sans quoi il ne peut pas être performant. Pour Gwendolen Fer, cavalière internationale de concours complet, « on demande des choses qui ne sont pas naturelles à nos chevaux, s’ils n’y prenaient pas de plaisir, ils ne le feraient pas ! », et Thierry Pommel acquiesçait : « Les meilleurs chevaux que j’ai pu monter, ceux sont ceux qui se faisaient plaisir en piste, et qui, en plus, avaient envie de me faire plaisir. » Mais la relation entre le cheval et son cavalier en est une à double sens. Comme le soulignait Philippe Rozier, « la réussite d’un cavalier, c’est la complicité et les soins qu’il apporte à son cheval ». Et dans cette relation, les intervenants ont insisté sur deux mots : confiance et bienveillance. Il s’est dégagé de la conversation que les cavaliers ont une responsabilité envers le cheval, que ce soit au niveau de la technique en piste ou des conditions de vie de celui-ci.
 
Et si le bien-être et la préparation physique du cheval ont été au cœur de l’attention pendant près de deux heures de conférence, la préparation mentale du cavalier a également été abordée, notamment par Maxime Chataigner, expert préparateur mental de la FFE. Souvent, précisait-il, « les cavaliers professionnels, en plus d’être sportifs de haut niveau, sont des entrepreneurs de la filière équestre. Ils ont la pression de la performance sportive, mais doivent également gérer celle de la gestion de leur entreprise, en plus de la bonne forme de leur piquet de chevaux. »

Source:Equnews/Communique de presse R&B presse


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